IM2014430 Art. Homicide ou mort naturelle ? Intérêt de l'examen médico-légal…

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Résumé

 

Dans certains cas où le décès paraît complexe, la levée de corps sur les lieux de découverte d'un cadavre est nécessaire pour orienter les premiers éléments de l'enquête vers un accident, un crime ou un suicide. Introduction : Lorsque le décès est suspect, les autorités compétentes font appel au médecin légiste afin d'apprécier la nature des circonstances du décès. Dans de très rares cas, les premiers éléments laissent à penser que l'origine du décès est de nature criminelle alors que l'examen externe du corps s'oriente vers une mort d'origine naturelle, confirmée ultérieurement par les opérations d'autopsies. Cas rapporté : Nous rapportons le cas d'une femme de 89 ans qui a été retrouvée sur son vélo d'appartement, la région sous mentonnière reposant sur le guidon. Les premières constatations par les forces de l'ordre mettent en évidence des gouttes de sang sur le sol et la présence d'une lésion importante en région cervicale évoquant une piste criminelle. Le médecin légiste qui intervient sur place permet d'écarter l'hypothèse de l'intervention d'un tiers, ce que confirmera l'autopsie médico-légale. Conclusion : La mort d'origine naturelle n'est pas toujours aussi évidente qu'elle puisse paraître. Certaines découvertes étonnantes de cadavres nécessitent une certaine vigilance et une rigueur de travail afin de déterminer au mieux la cause du décès.

Mots-clés : Levée de corps, mort naturelle, homicide.

9782747223287
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Suite à l’incendie survenu dans le tunnel du Mont Blanc, une nouvelle réglementation a été adoptée imposant pour chaque tunnel routier la réalisation d’une étude de ses risques spécifiques et, pour le transit des marchandises dangereuses, une comparaison avec les risques présentés par les itinéraires alternatifs. Dans la mise en oeuvre pratique de ces nouvelles études, la tentation a été grande de multiplier et de sophistiquer les modélisations d’incendies, les analyses de scénarios, les calculs de probabilité, les critères permettant d’effectuer des choix rationnels… Le groupe de travail chargé de définir de bonnes pratiques en la matière, qui avait à la fois une grande expérience du terrain et des outils scientifiques, a convergé progressivement vers une doctrine concrète d’« usage raisonné » de la science faisant leur place aux raisonnements traditionnels fondés sur des règles simples, mais robustes. On décrira ici la complexité des arbitrages faits entre deux logiques, la logique « hyperrationnelle » et la logique pragmatique, qui sont toujours plus ou moins en tension dans la réglementation relative aux risques.

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