Lintégration de la Chine à lOMC, en 2001, a profondément modifié la scène culturelle et son économie. Dans le contexte dune réflexion sur lélaboration dun « Soft power » (ruan shili) comme pouvoir dinfluence tel que le définit naguère Joseph S. Nye1 aux caractéristiques chinoises, la culture est devenue un domaine prioritaire pour les dirigeants de Pékin. Elle est non seulement perçue comme un gisement possible en termes de création demplois mais bien comme un « enjeu sécuritaire » (guojia wenhua anquan). Globalisation oblige, les institutions culturelles deviennent industries. Cest non seulement leur appellation qui est amenée à changer mais encore toute une réflexion qui porte sur les risques que comportent louverture de la Chine au capitalisme mondial dun point de vue identitaire. Dès lors, « rejoindre le monde » (yu guoji jiegui), selon la formule consacrée, ne peut-il pas porter atteinte à la souveraineté de la Chine dans le domaine culturel ?
Much has beensaid and written aboutwork motivationsince the adventof modern organizations.Managementtheoriesof motivationhave focusedtheir inputon the identification ofexternal stimulithat could beoperated byorganizationsandover,the managers, with a viewto stimulatethe motivation ofindividuals.This article proposesareversalof approach.Work motivationisunderstood asahighlydynamicindividualresulting from the investmentactivitiesof threeregisters:Bonds,InitiativesandAspirations.These threebooksare indispensableto each individualto workand arespecific to each(the contentvaries from one individualto another)and areconstantly changing,asand when theyare actuallyinvested andthat theindividualgets older.This conceptualizationbuildsa new approach tothe management oforganizationalmotivation:the direction itproposesis to makeeach individualworkof boththe guardian andregulatorof itsObligations/ Initiatives/Aspirations.