Sociologues, responsables politiques
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Imaginons deux enfants nés le même jour en Afrique du Sud en 2000. Nthabiseng est noire, Pieter est blanc. Le jour de leur naissance, Nthabisen et Pieter n’étaient pour rien dans la situation de leur famille, qu’il s’agisse de la race, du revenu et du niveau d’instruction de leurs parents ou de leur lieu de résidence en milieu rural ou urbain, et de ce fait, ils n’avaient rien fait non plus pour naître fille ou garçon. L’espérance de vie de Pieter est de 68 ans, contre 50 pour Nthabiseng. Pieter peut espérer faire 12 années d’études, mais Nthabiseng, moins d’une année. Il est à penser que Nthabiseng sera bien plus pauvre que Pieter pendant toute sa vie.
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- Qu'est-ce que la Préhistoire ? - Avant la Préhistoire : la vie sur la Terre - L'Emergence de l'homme - Homo erectus à la conquête de l'Ancien Monde - La vie des premiers hommes - L'homme de Neandertal - Homo sapiens, l'homme de Cro-Magnon - La vie de Cro-Magnon, chasseur-cueilleur - L'art préhistorique - La révolution néolithique
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Acropole, du grec ancien akropolis. De l’expression akra polis (les confins de la ville). Le terme désignait à l’origine le point extrême d’une ville, où étaient habituellement érigés des murs de protection, une forteresse, et donc, par extension, forteresse, lieu protégé. C’est chargé de cette seconde signification que le Rocher Sacré franchit le seuil de l’Histoire, il y a 6000 ans. Habitat néolithique et lieu de protection d’abord, il acquerra progressivement un caractère cultuel, pour constituer à l’époque classique le champ d’application des succès les plus modernes de la science, mais aussi le lieu de l’expression artistique la plus haute. Aujourd’hui, 2500 ans plus tard, l’Acropole continue à provoquer la même émotion intacte et le même émoi unique. Symbole de l’harmonie et de la mesure, elle résume dans ses marbres lumineux tout le monde antique, les débuts de l’humanisme et de la démocratie, la volonté de progrès, la tendance de l’homme à « regarder vers le haut », à rechercher la perfection. Dans ce Guide, les mythes liés à l’Acropole sont mentionnés, ainsi que sa marche dans l’Histoire, le site archéologique, le Musée Archéologique, les monuments et les sanctuaires environnants, sont décrits de manière analytique. Enfin, les photographies, les dessins et les restitutions, facilitent la visite du « tetre grandiose de Pallas » ; le symbole de l’esprit classique à travers les siècles.
CONTENU :
En 1950, j'avais cinq ans.
En ce temps-là, les trains suaient à la vapeur, les paysans parlaient à leurs chevaux, les bannières de Notre-Dame prenaient l'air chaque année à sa fête de septembre, et les vaches portaient encore des cornes.
Déjà, sur le chemin de l'église, je marchais dans l'ombre de Fabienne. Son parfum vanille annonçait l'encens.
Introïbo ad altare Dei
Puis vint le emps des prunes et du collège, des conférences de presse du général de Gaulle et du Spoutnik. Celui aussi -surtout-des premiers baisers.
La vie se suspendait en étrange apesanteur, se retenait, se distillait, se dégustait comme un alcool jauni que l'oubli a transformé en liqueur...
Mais le cien couvrait un orage terrible !
Alger... Charonne... Hanoï... Nanterre...
Heureusement, ELLE était là ! jusqu'à ce jour où...
Historien et romancier, sociétaire des Gens de Lettres de France, membre du jury Erckmann-Chatrian, Gilles LAPORTE est né en 1945 en Lorraine.
Son oeuvre, couronnée par les prix Moselly et Erckmann-Chatrian, va de la poésie au théâtre, en passant par le film de télévision.
Son roman précédent, "Les Dernières Violettes de la Mothe" (Editions ESKAà, a reçu le prix Plume de Vair 1997 et le prix de l'Acédémie de Stanislas 1997.
"Le Verre de Moisson" est son sixième roman.
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A cinq kilomètres à peine au sud-est de l’Héraklion moderne, sur la colline de Képhala et au bord de la rivières Kairatos (aujourd’hui, Katsambas), l’une des civilisations du monde égéen préhistorique les plus importantes atteignait son apogée voici quelques quatre milles ans : la civilisation minoenne, comme le fouilleur de Cnossos, Arthur Evans, la nomma. Nombreuses sont les choses qui apparaissent pour la première fois en Crète minoenne. Ses habitants construisent des cités autour de gigantesques palais, ils développent leurs activités commerciales de manière satisfaisante et inventent un art à la fois imposant et léger, majestueux et enjoué, une prière au pouvoir divin, mais aussi un hymne à la vie humaine et à la liberté de la nature. Le présent guide ne constitue pas un traité scientifique, et ne s’étend pas sur les interprétations des trouvailles archéologiques ; son but est d’introduire le profane aux principales caractéristiques de la civilisation minoenne, et de l’aider parallèlement à visiter le site archéologique, à recomposer, grâce à son imagination personnelle, l’ensemble des installations qui y étaient construites.