d'autre part, donner au pays les moyens requis pour lui permettre de se moderniser et de se développer. L'auteur a voulu analyser le processus évolutif d'une société, à partir du moment de son affranchissement après une phase de colonialisation de presque un siècle, en passant par tous les soubresauts, les étapes difficiles, l'exercice du pouvoir plus ou moins réussi selon les époques."
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Historiens, politologues, spécialistes des pays du Maghreb et du Proche Orient. Grand Public.
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"A l'aube de son indépendance, la Tunisie s'est trouvée confrontée à deux défis fondamentaux : d'une part, restructurer le pays et développer les outils nécessaires pour s'approprier les institutions et assurer les assises de son autonomie
CNOSSOS LE COEUR DE LA CIVILISATION MINOENNE
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A cinq kilomètres à peine au sud-est de l’Héraklion moderne, sur la colline de Képhala et au bord de la rivières Kairatos (aujourd’hui, Katsambas), l’une des civilisations du monde égéen préhistorique les plus importantes atteignait son apogée voici quelques quatre milles ans : la civilisation minoenne, comme le fouilleur de Cnossos, Arthur Evans, la nomma. Nombreuses sont les choses qui apparaissent pour la première fois en Crète minoenne. Ses habitants construisent des cités autour de gigantesques palais, ils développent leurs activités commerciales de manière satisfaisante et inventent un art à la fois imposant et léger, majestueux et enjoué, une prière au pouvoir divin, mais aussi un hymne à la vie humaine et à la liberté de la nature. Le présent guide ne constitue pas un traité scientifique, et ne s’étend pas sur les interprétations des trouvailles archéologiques ; son but est d’introduire le profane aux principales caractéristiques de la civilisation minoenne, et de l’aider parallèlement à visiter le site archéologique, à recomposer, grâce à son imagination personnelle, l’ensemble des installations qui y étaient construites.
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A cinq kilomètres à peine au sud-est de l’Héraklion moderne, sur la colline de Képhala et au bord de la rivières Kairatos (aujourd’hui, Katsambas), l’une des civilisations du monde égéen préhistorique les plus importantes atteignait son apogée voici quelques quatre milles ans : la civilisation minoenne, comme le fouilleur de Cnossos, Arthur Evans, la nomma. Nombreuses sont les choses qui apparaissent pour la première fois en Crète minoenne. Ses habitants construisent des cités autour de gigantesques palais, ils développent leurs activités commerciales de manière satisfaisante et inventent un art à la fois imposant et léger, majestueux et enjoué, une prière au pouvoir divin, mais aussi un hymne à la vie humaine et à la liberté de la nature. Le présent guide ne constitue pas un traité scientifique, et ne s’étend pas sur les interprétations des trouvailles archéologiques ; son but est d’introduire le profane aux principales caractéristiques de la civilisation minoenne, et de l’aider parallèlement à visiter le site archéologique, à recomposer, grâce à son imagination personnelle, l’ensemble des installations qui y étaient construites.