Cet article propose e revisiter la notion de temps introduite initialement par clark (1973) au travers des modèles de durée proposés par Engel et Russel (1998) et Bauwens et Giot (1997). Nous proposons de tester ces différenes modélisations sur données françaises. La conclusion est que si tous les modèles sont validés sur notre échantillon, c'est la version logarithmique qui est capable de capter au mieux la structure des durations.
Auteurs :Aubier-Piron Angélique Extrait de la revue BMI 48