La
mise en oeuvre du cadre daction de Hyogo, en 2005, se veut une
réponse universelle visant à bâtir des villes résilientes aux
crises multiformes qui les affectent. Ce désir de résilience
urbaine, si lon veut quil ne reste pas simple incantation ou
pur discours théorique, nous invite à préciser les contours du
concept pour mieux en saisir les défis, et donc sa portée pratique.
Dès lors, comment proposer une vision commune qui soit
transculturelle et universelle, cest-à-dire qui prenne en compte
la multiplicité des cultures et des comportements face aux dangers,
ainsi que les multiples contraintes locales qui se font jour au
moment de la traduction territoriale de la vision de Hyogo ?