Et si la volatilité des indices climatiques était le premier facteur de risque pour les entreprises industrielles et commerciales, loin devant le risque de change, de taux d'intérêt ou encore de variation du prix des matières premières ? La question se pose en tout cas dans le secteur de l'énergie, du textile, de l'agroalimentaire, du tourisme et des loisirs ou encore de la construction?
Auteurs :Marteau Didier Extrait de la revue BMI 74