EM2012630 REPRÉSENTANTS D’ASSOCIATIONS D’USAGERS ET PRIORITÉS DE SANTÉ : UN DÉFICIT DE DÉMOCRATIE

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Résumé

Les représentants d’associations d’usagers proposent-ils des priorités et des actions concernant la santé ? suite à une sollicitation des citoyens francs-comtois pour le choix de priorités de santé pour la Franche-comté, 38 représentants d’associations d’usagers ont choisi leurs prio - rités le 2 octobre 2010, pour faire un travail de hiérarchisation des priorités et proposer des actions concrètes de mise en oeuvre. ils retiennent les 5 mêmes priorités et dans le même ordre que les citoyens (disposer d’un logement, se nourrir convenablement, disposer d’un certain revenu, disposer d’une eau de qualité et développer le dépistage et le contrôle du cancer) et ils en ajoutent 5 autres : accéder à l’éducation, développer la prise en charge des personnes âgées, prendre en compte le stress et la santé mentale, préserver la sécurité sociale et maintenir l’effectif du personnel hospitalier. un total de 57 actions est proposé pour ces 10 priorités. les déterminants de la santé sont retenus en priorité et des actions sont proposées dans le cadre d’une politique de santé interministérielle favorisant la santé et l’environnement. de tels travaux publics peuvent être utiles aux agences régionales de santé pour identifier ou valider des priorités et des actions régionales complémentaires des priorités nationales.

Mots-clés :

démocratie participative en santé, Priorités de santé, Ordre de priorité, région, santé publique.

9782747220347
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Suite à l’incendie survenu dans le tunnel du Mont Blanc, une nouvelle réglementation a été adoptée imposant pour chaque tunnel routier la réalisation d’une étude de ses risques spécifiques et, pour le transit des marchandises dangereuses, une comparaison avec les risques présentés par les itinéraires alternatifs. Dans la mise en oeuvre pratique de ces nouvelles études, la tentation a été grande de multiplier et de sophistiquer les modélisations d’incendies, les analyses de scénarios, les calculs de probabilité, les critères permettant d’effectuer des choix rationnels… Le groupe de travail chargé de définir de bonnes pratiques en la matière, qui avait à la fois une grande expérience du terrain et des outils scientifiques, a convergé progressivement vers une doctrine concrète d’« usage raisonné » de la science faisant leur place aux raisonnements traditionnels fondés sur des règles simples, mais robustes. On décrira ici la complexité des arbitrages faits entre deux logiques, la logique « hyperrationnelle » et la logique pragmatique, qui sont toujours plus ou moins en tension dans la réglementation relative aux risques.

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