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Cette recherche compare empiriquement le montant de la retraite d'un salarié dans le système obligatoire actuel de répartition et dans un système de capitalisation "à cotisations définies et prestations indéfinies" qui aurait existé à partir de 1950. La première partie est "historique". A partir de la chronique de leurs saliares "moyens" annuels, les cotisations vieillesse des quatre CSP de base snt investies dans quatre fonds indiciels durant quarante ans. Les résultats essentiels sont triples : la capitalisation aurait procuré en moyenne des retraites plus élevées que la répartition. Ceci n'est pas le cas pour le scotisations investies en obligation. Les actions apportent une retraite beaucoup plus élevée que celle du régime obligatoire (75% du dernier salaire contre 63%) mais avec le risque de donner moins. La seconde utilise la technique de Monte-Carlo pour mesurer le "risque trajectoire" de la capitalisation. Ces simulations confortent les résultats précédents.Auteurs :Gallais-Hamonno Georges , Arbulu Pedro , Cotreuil de Belmont Isabelle , Monsigny Laurent
Extrait de la revue BMI 52