Depuis l'été 1985, le SEAQ International cote un certain nombre de titres européens. Or cette cotation n'est pas soumise à l'accord de la société émettrice. Si la fragmentation des flux de transaction avait un impact négatif sur la liquidité des titres, la liberté de cotation de SEAQ International devrait peut-être être remise en cause. L'objet de cette étude est d'évaluer l'impact de la concurrence menée par le marché londonien sur le marché français. La cotation sur le SEAQ ne semble pas être associée de rentabilités anormales significatives. En revanche, elle semblerait contribuer à accroître la liquidité.
Auteurs :Hamet Joanne ??0000000000000000000 Extrait de la revue BMI 26