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La reproduction, dans le cadre de l'accord de Bâle II, des pratiques de pilotage des banques établies à la suite de l'émergence du ratio Cooke présente de sérieux travers. Après une revue des faiblesses de tels dispositifs, d'un point de vue macroéconomique et microéconomique, on suggère que les banques saisissent l'opportunité de la mise en place du nouvel accord pour refondre leur approche du besoin en capital autour de notions qui intègrent leur aversion aux risques, leur stratégie, et leur pratique, en lieu et place d'un capital réglementaire conçu pour la moyenne des banques.
Auteurs :Bézard Max
Extrait de la revue BMI 68