Les bétons autoplaçants «bAP» se distinguent des bétons vibrés par leurs propriétés à l’état frais. Ils sont capables de s’écouler sous leur propre poids quelque soit le confinement du milieu et restent homogènes au cours de l’écoulement. en général, ils possèdent un même dosage en ciment et en eau que les bétons vibrés ainsi qu’un volume de sable assez proche, mais l’apport de fines est privilégié au détriment des granulats, ce qui permet d’établir un compromis entre la stabilité et la maniabilité du bAP. L’objectif de cette étude est de proposer des formules de bétons autoplaçants stables et homogènes, réalisés exclusivement à base de matériaux algériens, notamment des granulats concassés, et dont les performances à l’état durci sont similaires à celles des bétons ordinaires.
Alors que l’on s’interroge sur l’entreprise du XXIe siècle et sur « l’entreprise post-crise », il n’est pas inutile de revenir sur l’origine de l’entreprise du XXe siècle. Dans quelles conditions celle-ci est-elle née ? Qu’est-ce qui explique les formes qu’on lui connaît ? Et quels en sont les fondements qui pourraient, aujourd’hui, être remis en cause ? Berle et Means apportent un éclairage historique intéressant puisque leur ouvrage The Modern Corporation and Private Porperty (1932) analyse l’apparition de l’entreprise moderne au début
du XXe siècle.