un nombre important d’adjuvants et de ciments est disponible sur le marché de la construction ce qui entraîne une difficulté dans le choix des couples compatibles pour chaque utilisation. Cette étude a pour but de trouver le dosage minimal de deux entraîneurs d’air de fabrication AxIM (France) pour générer 10% d’air occlus dans un mortier à l’état frais. Ces dosages sont déterminés pour deux types de ciments différents et deux rapports E/C. La chute des résistances mécaniques enregistrée par l’introduction des bulles d’air a été déterminée et comparée avec celle de mortiers sans entraîneur d’air. Cette étude a permis de constater que le ciment aux laitiers nécessite deux fois plus d’entraîneurs d’air que le ciment ordinaire. Ce dosage diminue avec l’augmentation du rapport E/C et avec l’amélioration de l’ouvrabilité, d’une façon plus prononcée avec les ciments ordinaires que les ciments aux laitiers. La chute de résistance est observée dans la plupart des couples ciments-adjuvants bien que certains adjuvants ont présenté une meilleure compatibilité donnant pour des faibles dosages des résistances comparables à celles de la référence.
Cet article entend célébrer les trente ans de Myriam, cette étonnante campagne publicitaire qui émut la France tranquille de 1981 en révélant les dessous du modèle éponyme, au gré de promesses de plus en plus osées : « Le 2 septembre, j’enlève le haut », « Le 4 septembre, j’enlève le bas »… En rejouant avec attention et passion le strip-tease de Myriam, l’article montrera que, trente ans après, ce geste est éternel puisqu’avec Myriam, il y a toujours des dessous aux dessous. Cet étonnant millefeuille publicitaire nous permet ainsi d’approcher (mais non de connaître) les ressorts cachés du teasing publicitaire et des séductions de la curiosité commerciale.