PS20124542 LE TRAVAIL, ÇA S’APPREND

10,00 €
TTC
Type d'édition : PDF téléchargeable
Quantité
Add to wishlist

Résumé

Ce livre « Le travail, ça s’apprend », de Maurice Thévenet, est une oeuvre d’envergure, une livraison exceptionnelle à contre courant. Son titre sur le travail couvre, en fait, une analyse approfondie de la société toute entière, analyse menée à travers la grille du travail et de ses relations. Il ne contient pas de bibliographie, juste quelques notes. On peut donc en déduire que l’auteur exprime là, une représentation, sorte de synthèse de ses connaissances et convictions, qui se serait forgée tout au long de ses recherches et enquêtes antérieures. En effet, l’auteur, dont une enquête a montré que c’est le chercheur le plus cité de son domaine, livre jusqu’à 50 publications par an et a beaucoup publié sur le travail, notamment son célèbre ouvrage sur le plaisir de travailler qui était le plus cité en 2010, à la fois sur Google et sur Google Scholar.

9782747219228
999 Produits
Nouveau

16 autres produits dans la même catégorie :

Availability: 30 In Stock

Depuis une dizaine d’années, la littérature voit se multiplier des travaux cherchant à identifier les différents leviers à actionner afin d’encourager l’innovation au sein des entreprises. En prolongement de ces travaux centrés sur l’émergence d’une « culture de l’innovation », l’état de l’art réalisé dans cet article nous permet d’établir que créer une atmosphère de « sécurité psychologique » est le seul moyen permettant que :
– les membres de l’organisation ne soient pas paralysés par la peur d’échouer et continuent de proposer des projets audacieux,
– ces mêmes acteurs tirent les leçons des erreurs qui seront inévitablement commises au cours du processus d’innovation et soient en mesure de ne plus les reproduire. Nous suggérons, à ce titre, quelques axes de réflexion pour créer une culture du « droit à l’erreur » au sein des organisations, à commencer par la refonte des systèmes de sanction récompense et par l’inclination de la direction à « légender » les échecs. Nous soulignons néanmoins que ce qui est éventuellement possible dans le contexte de la culture américaine ne l’est pas forcément dans celui de la culture française.

This website uses cookies to ensure you get the best experience on our website