PS20144936 ART. LA CONCEPTUALISATION DANS L’ACTIVITE INDIVIDUELLE ET COLLECTIVE

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Type d'édition : Papier
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Article : La conceptualisation dans l’activité individuelle et collective
Implications pour le management des connaissances et des savoirs

Jean-Claude COULET

Résumé

En dépit des enjeux que représentent la prise en compte, par les organisations, des savoirs fondés sur les conceptualisations en action, la littérature en management des connaissances s’est peu développée du côté des théories de l’activité. Nous en présentons, dans une première partie, quelques éléments clés visant à préciser ce que sont les processus de conceptualisation impliqués dans les activités individuelles et collectives. Puis, sur cette base, nous exposons, dans une deuxième partie méthodologique, comment optimiser l’articulation de l’organisation de ces deux types d’activités et présentons un modèle de management stratégique, inspiré du modèle SECI de Nonaka & Takeuchi (1995), mettant l’accent sur les processus sociocognitifs à mobiliser.

L'auteur

Jean-Claude Coulet est chercheur associé au Centre de Recherche en Psychologie, Cognition et Communication de l’Université Rennes2, (CRPCC, Université Rennes 2) après y avoir occupé un poste d’enseignant-chercheur en psychologie du développement. Ses recherches portent essentiellement sur les compétences individuelles et collectives. Actuellement, il enseigne à l’Institut de Gestion de Rennes sur la thématique : « Intelligence économique et innovation.

 



9782747221153
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Depuis une dizaine d’années, la littérature voit se multiplier des travaux cherchant à identifier les différents leviers à actionner afin d’encourager l’innovation au sein des entreprises. En prolongement de ces travaux centrés sur l’émergence d’une « culture de l’innovation », l’état de l’art réalisé dans cet article nous permet d’établir que créer une atmosphère de « sécurité psychologique » est le seul moyen permettant que :
– les membres de l’organisation ne soient pas paralysés par la peur d’échouer et continuent de proposer des projets audacieux,
– ces mêmes acteurs tirent les leçons des erreurs qui seront inévitablement commises au cours du processus d’innovation et soient en mesure de ne plus les reproduire. Nous suggérons, à ce titre, quelques axes de réflexion pour créer une culture du « droit à l’erreur » au sein des organisations, à commencer par la refonte des systèmes de sanction récompense et par l’inclination de la direction à « légender » les échecs. Nous soulignons néanmoins que ce qui est éventuellement possible dans le contexte de la culture américaine ne l’est pas forcément dans celui de la culture française.

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