IB2014433 Art. De la légitimité de la sédation palliative et de la cessation de la nutrition artificielle…

10,00 €
TTC
Type d'édition : Papier
Quantité
Add to wishlist

Résumé

 

La question de la sédation palliative pour induire la perte de connaissance et de la cessation de la nutrition et de l'hydratation [NHA] en fin de vie a été soulevée récemment. Elle a également débouché sur une controverse au sujet du Liverpool Care Pathway, pratiqué au Royaume-Uni en fin de vie, dont le but était d'apporter à l'hôpital l'approche bio-psycho-sociale largement acceptée et utilisée dans les centres de soins palliatifs. L'argument consiste à dire que la légitimité de la souffrance existentielle dans le contexte d'un patient qui est déjà sous sédation, une situation qui peut rendre la personne vulnérable à ses propres sentiments, doit être prise en considération. Le fait que la NHA n'est pas toujours donnée dans le contexte des soins à domicile pose la question quant à sa légitimité lorsqu'elle est imposée à l'hôpital. De surcroît, alors qu'une norme de soins différente peut être légitime dans le contexte de soins à domicile lorsque des soins palliatifs sont administrés, ceci pose aussi la question : à quel point devons-nous être rigoureux lorsque le patient est dans un contexte hospitalier et qu'il s'agit d'augmenter la dose qui conduirait à la sédation ? Dans ce contexte on peut soutenir que l'on peut légitimement invoquer la doctrine du double effet où le bien n'est pas causé par l'induction délibérée du mal (sédation et cessation de la NHA)lorsque l'on y arrive de façon consécutive et prudente. Nous introduisons aussi une discussion de la question et de la dimension religieuses dans la relation soins - patient à la lumière des évolutions récentes en matière d'ontologie trinitaire appliquée aux contextes sociaux.

Mots-clés : Alimentation artificielle, arrêt de traitement, soins palliatifs, sédation en phase palliative.

9782747223706
30 Produits
Nouveau

16 autres produits dans la même catégorie :

Availability: 30 In Stock

L’implantation au Vietnam des pratiques internationales du management semble buter sur certains comportements culturels. Plutôt que de s’interroger sur un hypothétique changement de valeurs, il s’agit de comprendre l’idée que les acteurs se font de la place de l’individu et de son rapport aux autres, dans le contexte vietnamien. À partir d’une comparaison ligne à ligne d’un code d’éthique d’entreprise et de sa traduction en vietnamien, nous mettrons en évidence dans cet article deux conceptions bien différentes du rapport au monde et de la bonne gouvernance. C’est en partant de cette compréhension des différences entre ces deux univers culturels que les entreprises pourraient adapter leurs pratiques de management au contexte local.

This website uses cookies to ensure you get the best experience on our website