Celine BERRIER-LUCAS, ISG Paris Business School, France (Co-éditrice en cheffe)
Vivien BLANCHET, Burgundy School of Business, France (Co-éditeur en chef)
Alexandre ANTOLIN, Université de Lille – FASEST, France (Secrétariat de rédaction)
Jean-Marie COURRENT, Université de Montpellier, MRM, France (Éditeur associé)
Lovasoa RAMBOARISATA, Université du Québec à Montréal, ESG, Canada (Éditrice associée)
Clément SEHIER, Institut Mines-Telecom Lille-Douais, CLERSÉ, France (Éditeur associé)
Frédérique DEJEAN, PSL-Université Paris-Dauphine, DRM, France (Éditrice consultante)
Kathia MARTIN-CHENUT, CNRS - Université Paris 1 (Panthéon-Sorbonne), France (Éditrice consultante)
Elise PENALVA-ICHER, PSL-Université Paris-Dauphine, IRISSO, France (Éditrice consultante)
Nicolas POSTEL, Université de Lille, CLERSÉ, France (Éditeur consultant)
Pilar ACOSTA, Ecole Polytechnique, I3 CRG, France
Aurélien ACQUIER, ESCP Business School, AIMS, France
Pierre BARET, Excelia Business School, CEREGE, France
Luciano BARIN CRUZ, HEC Montréal, IDEOS, Canada
Pauline BARRAUD DE LAGERIE, PSL-Université Paris-Dauphine, IRISSO, France
Sandrine BERGER-DOUCE, Mines Saint-Etienne, Institut Henri Fayol, France
Soline BLANCHARD, Université Lumière Lyon 2, Centre Max Weber, France
Isabelle CADET, IAE de Paris, ADERSE, France
Valentina CARBONE, ESCP Business School, France
Aurélie CARIMENTRAND, Université de Bordeaux, Innovation, France
Isabelle CHAMBOST, Conservatoire national des Arts et Métiers, Lirsa, France
Pascale CHÂTEAU-TERRISSE, INP ENSAT Toulouse, ODYCEE, France
Yuna CHIFFOLEAU, INRAE, Innovation, France
Romain DEBREF, Université de Reims Champagne-Ardennes, SESG, France
Sihem DEKHILI, Université de Strasbourg, BETA-CNRS, France
Nolywé DELANNON, Université Laval, FSA, Canada
Béatrice DELZANGLES, PSL-Université Paris-Dauphine, Centre de Recherches en Droit, France
Isabelle DESBARATS, Université de Toulouse Capitole, CDA, France
Philippe EYNAUD, IAE de Paris, SITES, France
Alice FRISER, Université du Québec en Ouatais, AIMS, Canada
Renaud GARCIA-BARDIDIA, Université de Bourgogne, CREGO, France
Olivier GERMAIN, Université du Québec à Montréal, ESG, Canada
Jouhaina GHERIB, Université de la Manouba, ESCT, Tunisie
Stéphanie GIAMPORCARO, Nottingham University, Department of Accounting and Finance, Angleterre
Maud HERBERT, Université de Lille, MERCUR, France
Florence JANY-CATRICE, Université de Lille, CLERSÉ, France
Catherine KARYOTIS, NEOMA Business School, Lirsa, France
Julie LAZES, Institut Mines-Telecom Nord Europe, CLERSÉ, France
Kevin LEVILLAIN, Mines Paris Tech, CGS, France
Céline LOUCHE, Audencia, CARES, France
Magalie MARAIS, Université de Montpellier, LABE, France
Jonathan MAURICE, Toulouse School of Management, TSM, France
Emmanuelle MAZUYER, Université de Lyon 2, CeRCriD, France
Sébastien MENA, Hertie School Berlin, Allemagne
Antoine MISSEMER, CNRS, CIRAD, France
Jeremy MORALES, King's College London, Angleterre
Viviane ONDOUA BIWOLE, Université de Yaounde II, Cameroun
Florence PALPACUER, Université de Montpellier, ISEM, France
Béatrice PARGUEL, CNRS, PSL-Université Paris-Dauphine, DRM, France
Deborah PHILIPPE, HEC Lausanne, UNIL, Suisse
Olivier PILMIS, Sciences Po Paris, CNRS, France
Anissa POMIES, emlyon Business School, Lifestyle, France
Dimbi RAMONJY, Excelia Business School, CEREGE, France
Narjès SASSI, ISG Paris Business School, France
Hicham SEBTI, Euromed Fes, CIES, Maroc
Laurent TASKIN, UC Louvain, LRIM, Belgique
Julie TIXIER, Université Paris-Est Créteil, ORELIG, France
Anne TOUBOULIC, Nottingham University, Angleterre
Stéphane TREBUCQ, IAE Bordeaux, France
Virginie XHAUFLAIR, HEC Liège, Belgique
Franck AGGERI, Mines Paris Tech, CGS, France
Tima BANSAL, Ivey Business School, Centre for building sustainable value, Canada
Julie BASTIANUTTI, IAE Lille, LUMEN, France
Bruno BOIDIN, Université de Lille, CLERSÉ, France
Julienne BRABET, Université Paris-Est Créteil, SFM, France
Michel CAPRON, Université Paris 8, LED, France
Stéphanie CHATELAIN PONROY, Conservatoire des Arts et Métiers, Lirsa, France
Eve CHIAPELLO, EHESS, CEMS, France
Isabelle DAUGAREILH, Université de Bordeaux, COMPTRASEC, France
Michèle DUPRE, Université Lumière Lyon 2, Centre Max Weber, France
Asaad EL AKREMI, Toulouse School of Management, CNRS, France
Corine EYRAUD, Aix-Marseille Université, LEST, France
Olivier FAVEREAU, Université Paris-Nanterre, EconomiX, France
Corinne GENDRON, Université du Québec à Montréal, ESG, Canada
Pierre-Yves GOMEZ, emlyon Business School, G.R.A.C.E., France
Jean-Pascal GOND, Bayes Business School, ETHOS, Angleterre
Jacques IGALENS, Université de Toulouse Capitole, TSM, France
Didier KUEVIAKOE, Université de Nantes, France
Dirk MATTEN, Schulich Business School, COERB, Canada
Samuel MERCIER, Université de Bourgogne, CREGO, France
Jeremy MOON, Copenhague Business School, Danemark
Jean PASQUERO, Université du Québec à Montréal, ESG, Canada
Roland PEREZ, Université de Montpellier, CIHEAM, France
Yvon PESQUEUX, Conservatoire National des Arts et Métiers, Innovation, France
Françoise QUAIREL, PSL-Université Paris-Dauphine, DRM, France
Alexandre RAMBAUD, AgroParisTech, CIRED, France
Emmanuelle REYNAUD, IAE Aix-Marseille, CERGAM, France
André SOBCZAK, Audencia, France
Martine SPENCE, University of Ottawa, D.E.S.C.A.F., Canada
Béatrice TOUCHELAY, Université de Lille, IRHiS France
Marie-France TURCOTTE, Université du Québec à Montréal, ESG, Canada
Corinne VERCHER-CHAPTAL, Université Paris 13, CEPN, France
Stéphane VERNAC, Université de Saint-Etienne, CeRCRriD, France
David VOGEL, Berkeley Haas, États-Unis
Tout article soumis à la ROR doit respecter les règles exposées dans cette note. Celles-ci visent à faciliter le processus éditorial à garantir l’exigence scientifique de la revue. Le Comité de rédaction se réserve le droit de rejeter les articles non conformes.
Soumission d’un article
Les articles doivent être envoyés par mail à Alexandre Antolin à l’adresse suivante : Ror.revue@gmail.com
Les articles doivent être accompagnés d’une courte lettre (cover letter) figurant dans le corps du mail. Celle-ci doit fournir les informations suivantes :
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Résumé
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Mots clés
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Texte
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Tableaux, figures et images
Les tableaux, figures et images doivent être titrés et appelés dans le texte.
Ils doivent figurer à la fin du texte (après la bibliographie) en suivant leur ordre d’apparition. Dans le même temps, l’auteur·rice doit mentionner dans le texte l’endroit idéal de leur insertion (ex : « Insérer tableau 1 ici »). L’emplacement est néanmoins susceptible d’être modifié du fait des contraintes de mise en page.
L’auteur·rice a la responsabilité d’entreprendre les démarches relatives à l’obtention des éventuels droits de reproduction et de diffusion des tableaux, figures et images. Le Comité de rédaction ne peut en être tenu responsable.
Références et Bibliographie
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Les références bibliographiques doivent être précises. Les citations comprenant plus de trois références en une seule parenthèse sont à éviter. L’indication des numéros de page est indispensable lors des citations et, d’une manière générale, recommandée. Les numéros de page suivent la date de publication dont ils sont séparés par deux points (ex : « Ainsi, comme l’écrit l’Auteur·rice (2004 : 20), la RSE est… »).
En bibliographie, les références doivent être listées selon l’ordre alphabétique du 1er auteur·rice comme suit :
Article de recherche : Goggin, W. C. 1974. How the multidimensional structure works at Dow Corning. Harvard Business Review, 55 (1): 54-65.
Article de presse (sans auteur identifiable) : Le Monde Initiative. 2004. Handicap, quelques avancées. Juillet-Août : 3.
Chapitre de livre : Berg, N.A. 1973. Corporate role in diversified companies. In B. Taylor & I. MacMillan (Eds.), Business policy: Teaching and research: 298-347. New York: Wiley.
Communication : Wall, J.P. 1983. Work and nonwork correlates of the career plateau. Paper presented at the annual meeting of the Academy of Management, Dallas, TX.
Livre: Kahn, R.L., & Boulding, E. (Eds.). 1964. Power and conflict in organizations. Glencoe, IL: Free Press
Thèse : Hereng, H. 2003. Réseaux d’observation sociale. Caractérisation et performance. Thèse non publiée de doctorat de gestion, Université des sciences sociales, Toulouse.
La Revue de l’Organisation Responsable est une revue créée en 2006 par Jacques Igalens (Université Toulouse Capitole). Initialement conçue pour se saisir des changements liés à l’arrivée de la thématique de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE), thème omniprésent en management depuis le début des années 2000, la revue a très rapidement évolué, cette évolution se traduisant par un élargissement progressif des thématiques et des champs disciplinaires concernés. Le traitement pertinent de la thématique initiale suppose en effet une ouverture à toutes les formes d’organisations – entreprises, associations, coopératives, fondations, etc. – et une attention portée aux changements contemporains dans l’organisation de la production, de l’échange et de la consommation des biens et services. Pour le dire autrement, la ROR se définit aujourd’hui comme une revue qui accueille une réflexion critique sur les développements du capitalisme actuel, car elle a pour acte fondateur l’analyse de la tentative de poser la RSE comme un nouveau mode de régulation du capitalisme. Son objet originel qui semble au départ étroit impose en réalité un élargissement de la ligne éditoriale de la revue à l’ensemble des activités économiques modernes autour du travail, de la production, de l’échange et de la consommation.
Le thème de la responsabilité sociale de l’entreprise, est plus ancien qu’on ne le croit. On en trouve la trace aussi bien dans le paternalisme du XIXe siècle que dans les engagements de grands capitaines d’industrie du siècle passé, dont l’analyse historique aide à éclairer des développements plus récents. Mais force est de constater que c’est à la fin du XXe siècle que ce thème a pris une importance nouvelle et qu’il est devenu une préoccupation essentielle car il est la contrepartie de la place et du rôle majeur des entreprises dans un monde global. Le rapport au temps, le rapport à l’espace, l’inscription des entreprises dans leur cadre réglementaire, leurs relations avec les parties prenantes ont connu plus de changements dans les vingt dernières années que dans le siècle précédent. L’entreprise, à travers les conséquences environnementales de ses activités devient responsable vis-à-vis des générations à venir. Par sa position de donneur d’ordre ou de client de sociétés implantées dans des pays en voie de développement elle devient également responsable de salariés qui ne sont pas les siens. Du fait des attentes de consommateurs, de collectivités territoriales, de riverains, d’ONG, elle doit se poser des questions nouvelles sur les conditions et parfois même la finalité de ses activités. Les marchés financiers ne sont pas les derniers à avoir pris en compte cette nouvelle dimension à travers le développement de l’investissement socialement responsable et des agences de notation extra-financière. La consommation socialement responsable ou le commerce équitable posent également de nouveaux problèmes aussi bien aux producteurs qu’aux distributeurs. Ils questionnent la mobilisation des consommateurs via l’utilisation de labels ou d’autres répertoires d’action à la portée dénonciatrice plus forte. La formation et les processus d’apprentissage sont également influencés par l’émergence de nouveaux métiers s’exerçant dans ces nouveaux marchés « de la vertu ». Les questions de santé au travail sont remises au cœur des questionnements avec les (plus ou moins) nouvelles formes d’organisation du travail ou l’intégration des questions environnementales sur l’utilisation des produits controversés. Tous les secteurs d’activité de l’agriculture aux services, en passant par l’industrie, sont confrontés à la crise écologique et à la prise en compte des risques nouvellement identifiés ou au contraire invisibilisés. L’entreprise « en société » ne peut ignorer les enjeux de la transition sociale et écologique et doit l’accompagner.
Les sciences de gestion apportent leur contribution à la recherche de solutions en produisant et diffusant des connaissances validées de façon à animer un débat scientifique comparable à ceux qui traversent les courants anglo-saxons connus sous les dénominations de « business ethics », « business and society », « social issues », « corporate social performance ». Mais, comme la réflexion sur la RSE ne doit pas s’arrêter aux portes de l’entreprise, elle suppose également d’être enrichie par d’autres approches. L’économie, le droit, la sociologie, les sciences politiques, l’histoire, les sciences de l’ingénieur sont également des disciplines porteuses d’un discours analytique et critique vis-à-vis de ces manières d’organiser, de diffuser et de légitimer les activités économiques. Que ces discours soient inscrits en sociologie économique, en économie institutionnelle, en économie des conventions, en droit du travail, en sociologie des sciences et techniques, en droit public international ou privé, etc., tous ont leur place dans la ROR.
Le comité éditorial de la revue est résolument interdisciplinaire et composé de quatre enseignants-chercheurs de discipline différente. Frédérique Déjean, Celine Berrier-Lucas et Vivien Blanchet, représentent la gestion, Elise Penalva-Icher la sociologie, Nicolas Postel l’économie et Kathia Martin-Chenut le droit. Ce comité éditorial s’appuie sur un comité de rédaction large et représentant toutes les disciplines de sciences humaines et sociales et les courants théoriques qui les traversent et un comité d’orientation reconnu internationalement. Nous voulons que la ROR soit un espace de discussion interdisciplinaire fertile pour la production de connaissances sur les sujets qui la concerne. Ces espaces sont malheureusement trop rares et leur entretien représente un véritable challenge. Nous nous engageons à relever ce défi à la ROR avec le soutien du RIODD. En effet, en termes de collectif scientifique, la revue est également soutenue par le RIODD, réseau international de recherche sur les organisations et le développement durable, qui a pour vocation d’accompagner et promouvoir la recherche interdisciplinaire sur les mutations des activités économiques qui redessinent de nouveaux rapports entre les sociétés et les organisations humaines.
Dans ces domaines plus que dans d’autres, la dimension culturelle est importante et c’est pourquoi il nous est apparu utile de proposer une revue écrite en français et en anglais. La Revue accepte des articles écrits dans l’une ou l’autre des deux langues.
Il va de soi que la revue fonctionne selon les principes des revues scientifiques internationales : soumission des articles par les auteurs, désignation d’un rédacteur en chef et de deux rapporteurs qui examinent ces propositions préalablement anonymisées et procédure de navette dans le cas où ces propositions devraient être retravaillées avant d’être publiées.
Enfin, la revue accepte des travaux de différentes natures. A côté des articles de recherches scientifiques, s’appuyant sur une démarche empirique, elle-même fondée sur une méthode qualitative et/ou quantitative, la revue publie également des articles théoriques ou des textes de praticiens qui peuvent éclairer d’une autre manière les politiques responsables des entreprises. Dans le cas d’articles présentant les résultats d’une enquête empirique, le comité éditorial sera très attentif à la qualité du terrain (i.e. saturation et/ou représentativité des données, présentation formelle des résultats). Dans tous les cas, le comité est attaché à la portée critique des textes, qui doivent proposer une contribution pour augmenter l’état des connaissances des pratiques présentées comme responsables des organisations.
Enfin, la ROR a le souci de ne pas être une simple procédure de sélection et elle s’efforce d’apporter, dans la mesure de ses moyens, une aide aux auteurs qui s’inscrivent dans son projet éditorial afin de les aider à progresser dans la production de connaissances scientifiquement validées.