BC2013232 ART. La flore vaginale : composition, propriétés

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Résumé

 

A l'’homéostasie, la muqueuse vaginale est recouverte d'’une flore complexe équilibrée et stable. En 1892, Doderleïn la décrivit pour la première fois : il la croyait homogène et constituée de bacilles à Gram positif, pléiomorphes et asporogènes. Depuis, ces bacilles sont encore souvent appelés de son nom (bacille de Doderleïn), bien que les essais d'’identification et de classification de Beijerink en 1901 en aient fait des lactobacilles dont on a commencé à différencier les espèces en 1960 [Rogosa et Sharpe, 1960], pour en déterminer presque définitivement la composition ces dernières années grâce aux méthodes de biologie moléculaire. L'’équilibre de l’écosystème vaginal, dont les lactobacilles sont les principaux acteurs, est essentiel, car il constitue le principal élément de défense contre les infections génitales. Cette flore commensale n'’avait que très peu été étudiée jusqu'’à présent dans la mesure où les microbiologistes ne s'’intéressaient qu'’aux pathogènes. C’est pourquoi jusqu'’à ces dernières années, très peu de publications la concernent. Quant aux bifidobactéries, second groupe de germes de l’écosystème normal par leur importance, ils sont presque passés sous silence.

9782747220507
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Suite à l’incendie survenu dans le tunnel du Mont Blanc, une nouvelle réglementation a été adoptée imposant pour chaque tunnel routier la réalisation d’une étude de ses risques spécifiques et, pour le transit des marchandises dangereuses, une comparaison avec les risques présentés par les itinéraires alternatifs. Dans la mise en oeuvre pratique de ces nouvelles études, la tentation a été grande de multiplier et de sophistiquer les modélisations d’incendies, les analyses de scénarios, les calculs de probabilité, les critères permettant d’effectuer des choix rationnels… Le groupe de travail chargé de définir de bonnes pratiques en la matière, qui avait à la fois une grande expérience du terrain et des outils scientifiques, a convergé progressivement vers une doctrine concrète d’« usage raisonné » de la science faisant leur place aux raisonnements traditionnels fondés sur des règles simples, mais robustes. On décrira ici la complexité des arbitrages faits entre deux logiques, la logique « hyperrationnelle » et la logique pragmatique, qui sont toujours plus ou moins en tension dans la réglementation relative aux risques.

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