Conn (1928) a décrit un groupe de bactéries qui apparaissaient comme des bacilles après 24 heures de culture et comme des cocci après 3 à 4 jours d'incubation. Le nom de Bacterium globiforme a été proposé pour cette bactérie. À l'époque, l'idée d'un polymorphisme ne fut pas très bien acceptée. Des cultures de cet organisme ont alors été envoyées à Krassilnikov qui l'identifia comme une espèce du genre Mycobacterium et à Jensen qui décrivit une bactérie du genre Corynebacterium. Quelques années plus tard, en 1940, Lochhead et son équipe conclurent en ces termes : « Bacterium globiforme représente un groupe particulier de corynébactéries présentant des propriétés culturales et physiologiques particulières ». Puis Conn et Dimmick (1947) ont repris l'étude de ce micro-organisme et ont comparé la souche de Bacterium globiforme avec des souches d'autres laboratoires identifiées comme des Corynebacterium ou des Mycobacterium.
Alors que l’on s’interroge sur l’entreprise du XXIe siècle et sur « l’entreprise post-crise », il n’est pas inutile de revenir sur l’origine de l’entreprise du XXe siècle. Dans quelles conditions celle-ci est-elle née ? Qu’est-ce qui explique les formes qu’on lui connaît ? Et quels en sont les fondements qui pourraient, aujourd’hui, être remis en cause ? Berle et Means apportent un éclairage historique intéressant puisque leur ouvrage The Modern Corporation and Private Porperty (1932) analyse l’apparition de l’entreprise moderne au début
du XXe siècle.
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