IB20132330 PEUT-ON ACCEPTER LES PROGRÈS EN SCIENCES BIOMÉDICALES SANS PROGRÈS EN ÉTHIQUE ?

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Résumé

Les progrès des sciences biomédicales ont été émaillés dès le milieu du XXe siècle par l’émergence de la bioéthique, qui a façonné le cadre moral de leur application à la recherche ainsi qu’à la clinique. Peut-on pour autant considérer l’avènement de la bioéthique comme une forme de progrès marquant les avancées des sciences biomédicales d’une empreinte éthique adéquate? L’argument proposé dans ce chapitre part du constat que, loin d’être une marque de progrès, le développement de la bioéthique court le risque de favoriser, à l’image de la science moderne, une dissolution des liens unissant éthique et médecine, privant ainsi cette dernière des dimensions humanistes qui soustendent les responsabilités qui lui incombent. Face à ce possible écueil, cette contribution propose d’envisager comme figure du progrès moral, consubstantiel au développement des sciences biomédicales, une démarche éthique conçue comme un mode d’intervention sociale qui pose les jalons d’une éthique de responsabilité intégrant la perspective bioéthique au sein d’une approche herméneutique et délibérative portant, à l’aune d’une démarche prudentielle, une attention particulière aux diverses sources de normativité de l’agir médical en situation. Il est suggéré que cette approche éthique est source de progrès dans la mesure où elle constitue une attitude de veille indispensable, à laquelle les sciences biomédicales peuvent s’adosser lors de leurs avancées en vue d’assurer le maintien du lien fondamental qui unit éthique et médecine.

Mots-clés :

ethique médicale, pratique médicale, aspect historique, progrès.

9782747220569
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Beaucoup a été dit et écrit sur la motivation au travail depuis l’avènement des organisations modernes. Les théories gestionnaires de la motivation ont focalisé leur apport sur l’identification des stimuli externes qui pouvaient être actionnés par les organisations et leur relais, les managers, dans l’optique de susciter la motivation des individus. Cet article propose un retournement d’approche. La motivation au travail y est appréhendée comme une dynamique éminemment individuelle résultant de l’investissement de trois registres d’activités : les Obligations, les Initiatives et les Aspirations. Ces trois registres sont indispensables à chaque individu au travail ; ils sont propres à chacun (leur contenu varie d’un individu à l’autre) et sont en évolution permanente, au fur et à mesure qu’ils sont effectivement investis et que l’individu avance en âge. Cette conceptualisation fonde une nouvelle approche de la gestion de la motivation en organisation : l’orientation qu’elle propose est de faire de chaque individu au travail à la fois le gardien et le régulateur de ses Obligations/Initiatives/Aspirations.

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