

Résumé
Cette convention constitue le premier texte international contraignant en matière pénal et comprend, en raison de la nature des questions traitées, une véritable dimension internationale qui met en face les principes du droit de la bioéthique au regard de la mondialisation de la commercialisation du corps humain dans un de ses aspects les plus condamnables.
MOTS-CLÉS
Conseil de l’Europe, Convention contre le trafic d’organes humains, Droits de l’homme, Bioéthique, Ouverture à la signature.