Sommaire
I. Fondements de la responsabilité médicale II. Le droit positif et son évolution...
Public
Resumé
Les relations entre le médecin et son patient, après avoir été, formellement, soumises au régime délictuel des articles 1382 et 1383 du code civil, qui imposait au patient de prouver la faute du médecin dans la survenance du dommage dont il lui demandait réparation, action qu'il ne pouvait engager que dans les 3 ans qui suivaient l'acte médical reproché, ont été qualifiées de "contractuelles" par un arrêt de 1936, connu sous le nom d'arrêt "MERCIER". Toutefois, elles n'avaient acquis, de l'aspect contractuel, que le régime de la prescription de l'action du patient qui passait de 3 à 30 ans. Pour ce qui concernait le régime juridique, c'est-à-dire la charge de la preuve et les causes d'exonération de la responsabilité médicale, il demeurait dominé par les règles de la responsabilité délictuelle, la Cour de Cassation faisant jouer un rôle inattendu, et contraire aux dispositions du Code Civil, à une distinction doctrinale : obligation de résultat- obligation de moyens. Le retour à l'orthodoxie juridique paraît avoir emprunté la voie tracée par l'article 1135 du code civil qui met en exergue, aux côtés de l'obligation principale de soins, l'existence des obligations contractuelles accessoires que sont les obligations d'information et de sécurité. L'obligation de soins, qui donne rarement lieu à contentieux, demeure, dans so contenu, une obligation de moyens (des soins consciencieux, attentifs et conformes aux données acquises de la science) : le fait de mettre à la charge du médecin la preuve de ses diligences n'implique pas une obligation de guérison. En revanche, l'obligation d'information, dont l'objet est de faire participer le patient au choix de l'acte thérapeutique, et l'obligation de sécurité, qui impose au médecin de ne pas aggraver l'état du patient, ne peuvent qu'être de résultat.
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I. Fondements de la responsabilité médicale II. Le droit positif et son évolution...
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Resumé
Les relations entre le médecin et son patient, après avoir été, formellement, soumises au régime délictuel des articles 1382 et 1383 du code civil, qui imposait au patient de prouver la faute du médecin dans la survenance du dommage dont il lui demandait réparation, action qu'il ne pouvait engager que dans les 3 ans qui suivaient l'acte médical reproché, ont été qualifiées de "contractuelles" par un arrêt de 1936, connu sous le nom d'arrêt "MERCIER". Toutefois, elles n'avaient acquis, de l'aspect contractuel, que le régime de la prescription de l'action du patient qui passait de 3 à 30 ans. Pour ce qui concernait le régime juridique, c'est-à-dire la charge de la preuve et les causes d'exonération de la responsabilité médicale, il demeurait dominé par les règles de la responsabilité délictuelle, la Cour de Cassation faisant jouer un rôle inattendu, et contraire aux dispositions du Code Civil, à une distinction doctrinale : obligation de résultat- obligation de moyens. Le retour à l'orthodoxie juridique paraît avoir emprunté la voie tracée par l'article 1135 du code civil qui met en exergue, aux côtés de l'obligation principale de soins, l'existence des obligations contractuelles accessoires que sont les obligations d'information et de sécurité. L'obligation de soins, qui donne rarement lieu à contentieux, demeure, dans so contenu, une obligation de moyens (des soins consciencieux, attentifs et conformes aux données acquises de la science) : le fait de mettre à la charge du médecin la preuve de ses diligences n'implique pas une obligation de guérison. En revanche, l'obligation d'information, dont l'objet est de faire participer le patient au choix de l'acte thérapeutique, et l'obligation de sécurité, qui impose au médecin de ne pas aggraver l'état du patient, ne peuvent qu'être de résultat.
Sommaire
Constitution et rôle des compagnies d'experts judiciaires. Les réactions psycho-pathologiques et psychiatriques post-traumatiques. L'expertise médicale : droit et obligations des parties. Indemnisation des états séquellaires sans conséquences fonctionnelles mais susceptibles d'handicaper l'avenir. La responsabilité en gynécologie-obstétrique. L'expertise odontologique.
Public
Magistrats, juristes, experts juridiques, odontologues, traumatologues, gynéco-obstétriciens, sociologues, psychiatres, psychosociologues, éthiciens (praticiens et étudiants).
Sommaire
Tome I : 1. Le viol. II. Attentats à la pudeur, outrage public à la pudeur. III.Assassinat. IV. Homicide volontaire, violences. V. Attaque à main armée. VI. Vols. VII. Incendie volontaire. VIII. Crime, délit et filiation. IX. Parricide, matricide. X. Crédibilité de la victime. XI. Partie civile. Tome II : I. Expertise psychiatrique et déontologie. II. Réalisation de l'expertise psychiatrique et médico-psychologique. III. La psychiatrie. IV. La métapsychologie, la psychopathologie, théorie et concepts psychanalytiques. V. Caractère, tempérament et personnalité. VI. Examens complémentaires.
Public
Cet ouvrage est un instrument de travail très précieux pour les médecins : psychiatres, psychologues, mais aussi pour les juges, les magistrats...
Sommaire Le secret. La théorie. Historique et textes. Analyse de l'obligation. L'intérêt des parties concernées. Le cas particulier du secret partagé. Les rapports avec la justice. Approche d'une étude spéciale. Conclusion. Public Magistrats, juristes, experts juridiques, médecins et professionnels de la santé, sociologues, éthiciens (praticiens et étudiants).
Public
Médecins, magistrats, juristes, éthiciens (praticiens et étudiants).
Resumé
La levée de corps médico-légale est une des étapes indispensables dans le cadre d'investigations criminelles. Il s'agit d'un examen spécialisé qui requiert des connaissances médico-légales suffisantes. Néanmoins, il est capital pour chaque médecin généraliste de savoir ce qu'on peut retirer d'un bon examen de corps, aussi bien dans le diagnostic d'une mort naturelle que d'une mort suspecte.
Sommaire
I. Proposition d'un protocole d'autopsie oro-faciale. II. Rappels anatomiques des structures maxillo-mandibulaires. III. Bases radiographiques et bases en imagerie de l'autopsie oro-faciale. IV. Formulaire d'expertise odonto-légale par autopsie. V. Etude anthropométrique. VI. Plateau technique de l'autopsie oro-faciale. VII. Protocole de l'autopsie oro-faciale. VIII. Traitement et conservation des pièces recueillies, nettoyage et présentation. IX. Protocole de réalisation des scellés. X. Fiche normative de scellés. XI. Législation de l'autopsie en France. XII. Aspects éthiques de l'autopsie oro-faciale.
Public
Cet ouvrage se destine plus particulièrement aux médecins spécialistes en odonto-stomatologie et aux médecins légistes.
Sommaire
La prescription radiologique et l'expertise médicale - État antérieur en radiologie - Valeur médico-légale de l'imagerie rachidienne - Valeur médico-légale des traumatismes craniens - Pathologie traumatique du pied - L'évolution et les limites de l'échographie materno-fœtale - Radiothérapie et Médecine légale - AMEDOC.
Public
Resumé
L'AMEDOC organise régulièrement des colloques, consacrés à des sujets médico-légaux. Parmi les plus récents, on peut citer : les traumatisés crâniens graves, le préjudice esthétique, le préjudice sexuel, la tierce personne et le retentissement professionnel. La réunion organisée à Deauville, en octobre 1997, conjointement avec la Société de Médecine Légale et de Criminologie de France, consacrée à "La pathologie sexuelle traumatique" a permis d'initier une réflexion médico-légale dont la synthèse est reprise dans le "Barème d'évaluation médico-légale" (Éditions ESKA, Paris, 2000). L'ouvrage présenté contient les éléments médicaux et médico-légaux utiles à l'évaluation des atteintes de la fonction sexuelle. L'AMEDOC dispose d'un site Internet : amedoc-asso.com sur lequel tout renseignement concernant l'AMEDOC, et la vie de la spécialité de l'évaluation du dommage corporel peut être trouvé.
Sommaire
Procréation artificielle : les nouvelles relations entre le droit, la morale et les sciences. Procréation artificielle humaine et droits de l'homme. Les techniques de reproduction et le devenir des embryons. La diffusion de l'éthique. Les nouvelles technologies de la reproduction dans le monde.
Public
Médecins, gynécologues-obstétriciens, psychologues, juristes, sociologues, éthiciens (praticiens et étudiants).
La « bioéthique » a toujours été un terrain propice aux débats de tous ordres et tout particulièrement juridiques. Au cours des deux décennies d’application des premières grandes lois françaises de bioéthique (1994) est apparu un besoin constant et renouvelé d’adaptation des normes et comportements.
Sommaire
I. Historique et définition du médecin agréé. II. Nomination, assermentation. III.Différents types de congés des fonctionnaires et avantages nécessitant l'intervention d'un médecin agréé. IV. Les instances administratives. V. Missions du médecin agréé. VI. Problèmes spécifiques à la Médecine agréée. VII. Barème d'invalidité et Médecine agréée.
Public
Cet ouvrage s'adresse à tous les médecins, plus particulièrement aux médecins agréés et experts médicaux, mais également aux fonctionnaires.
Sommaire
Évaluation médicale - Organisation et satisfaction - La tierce personne - Le point de vue de l'assureur - Le point de vue de l'avocat - Le point de vue du magistrat - Analyse des besoins - Les temps de tierce personne - Le rôle de la famille - Le devenir à long terme - Synthèse de la table ronde : besoins non programmables - Synthèse de la table ronde : surveillance diffuse, présence...
Resumé
L'Association HANDIFACE organise régulièrement des séances de formation, destinées à ses membres, au cours desquelles des avis extérieurs sont constamment sollicités. Cette approche multidisciplinaire apparaît comme un des éléments essentiels de l'amélioration de la qualité des expertises. Plus exceptionnellement, l'association organise des présentations ou des débats plus larges. " La Tierce personne " est l'un des sujets d'évaluation les plus difficiles de l'expertise médicale des handicapés, et l'approche multidisciplinaire de cette problématique est apparue une priorité. L'association est inscrite, en qualité de personne morale, sur la liste des Experts près la Cour d'Appel d'Angers.
Une trentaine d’auteurs de toutes disciplines, sous la direction de Christian Byk, ont mis en commun leurs expériences pratiques pour singulariser une série de cas cliniques (qui sera, nous l’espérons, complétée par d’autres), au regard des questions éthiques et juridiques qu’ils soulèvent.
Sommaire
Diagnostic prénatal et procréation médicalement assistée. Le diagnostic prénatal une invention pour quoi faire ? La procréation médicalement assistée. Sciences de la vie et droits de l'homme. L'intégrité du corps humain. Les registres épidémiologiques. Les comités d'éthique.
Public
Médecins, gynécologues-obstétriciens, psychologues, juristes, sociologues, éthiciens (praticiens et étudiants).
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