Intuition et méthode, Psychanalyse introspective

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Ce livre présente de façon claire et pédagogique les lois du fonctionnement psychique découvertes par Paul Diel et se poursuit par un exposé de leurs possibilités d'utilisation méthodique.

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L’hominisation est une étape décisive dans l’orientation qu’a prise la vie. Elle se caractérise par l’accès au conscient, c'est-à-dire par la perception vécue d’un « moi » qui désire, agit, sait qu’il désire, sait qu’il agit et peut agir sur ses pensées et donc sur ses actes. L’être humain, issu de l’animalité par voie de différenciation-intégration, n’est plus régi par un instinct qui lui permettrait de satisfaire ses appétitions vitales mais par un esprit conscient au service de la multitude de ses désirs.

Il peut choisir alors que l’animal est déterminé par son instinct. Cette libération de l’instinct est la source d’une grande richesse de la pensée et de l’action, mais aussi d'une immense complexification du problème de la vie, qui exige alors une perception introspective de la multitude de nos désirs.

L'introspection ne peut être source de savoir qu'à condition d'être objective. Mais comment fonder cette objectivité alors que le sujet observant et le fonctionnement à observer ne font qu'un ? Cette question, analogue en apparence au principe d'incertitude de Heisenberg, a conduit plusieurs générations de théoriciens à condamner l'introspection en tant que telle, privilégiant des modes d'observation de l'humain exclusivement comportementaux, mais au prix d'une déperdition qualitative considérable. Jeanine Solotareff montre qu'il est possible de sortir de cette impasse théorique en utilisant la connaissance des lois du fonctionnement psychique pour construire une introspection guidée, méthodique, qui dans un processus systémique permet au regard intérieur de gagner progressivement en précision et en puissance.

Ce livre présente de façon claire et pédagogique les lois du fonctionnement psychique découvertes par Paul Diel et se poursuit par un exposé de leurs possibilités d'utilisation méthodique. Celle-ci peut renforcer et préciser la « voix de la conscience », présente en chaque être humain mais qui s'exprime le plus souvent de façon insuffisamment explicite.

 

Jeanine Solotareff, élève de Paul Diel, exerce comme psychanalyste depuis plus d'un demi-siècle et met en œuvre la méthode introspective dans sa pratique thérapeutique. Conférencière, elle a dispensé un enseignement public de la théorie diélienne en France, en Suisse et au Canada et a participé à des émissions de France Culture. Ecrivain, elle a publié depuis 1979 une dizaine d'ouvrages dans lesquels elle développe et amplifie les concepts diéliens. Jeanine Solotareff a co-fondé l'Association de Psychanalyse introspective, dont elle a assuré la présidence jusqu'en 2014.

9782822404983
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SOYEZ HEUREUX !

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Comment être heureux, aujourd’hui ?

Comment sortir du malaise ?

Il y a des remèdes traditionnels : lutter contre la dépression, essayer d’être chasseur plutôt que bonnet de nuit, ne pas abuser des somnifères ou des anxiolytiques, réaliser ce qu’on a envie de faire, avoir le souci de soi et pratiquer la gymnastique, enfin s’amuser (par exemple : lire des livres distrayants).

Il y a des antidotes moins connues, mais tout aussi efficaces : le bien manger, l’art des voyages, la conjugaison de l’Impératif, le maniement du courage, l’autodérision, la vertu de l’espoir et de la méditation, l’affection générale pour les animaux, fussent-ils sauvages…

Enfin il y a des médicaments très rares : imaginer qu’on est dans un autre élément, avoir l’habitude de faire la synthèse entre calcul et activité, plénitude et mouvement, avoir le don de l’illusion, croire aux remèdes bioéthiques et à l’art, vivre dans la Société de consolation et non pas de dénigrement, apprendre la curiosité, etc…

Quelle que soit la solution, il est nécessaire de l’apprendre, pour anéantir ses pleurs et accéder à la joie, au bonheur.

Ce sentiment à l’égard de soi-même et d’autrui, traverse tout l’ouvrage.


Elisabeth DOLARD, docteur en droit, licenciée es lettres, et diplômée de l’institut des Sciences Politiques et de l’Institut de Criminologie, s’est passionnée pour les études. Elle devait se consacrer ensuite à sa famille « Elever quatre enfants est très accaparant dit-elle en souriant) et à sa profession (elle fut avocate avant d’enseigner à la Faculté de Droit et dans diverses écoles de formation sanitaire et sociale). Elle s’engage maintenant dans l’écriture en espérant que les lecteurs inconnus d’aujourd’hui seront les amis de demain !

 

Availability: 50 In Stock

CONTENU :

Il faut vivre dans une société où on peut parler de la mort. Celle ci est devenue un véritable tabou, au moment où le lieu pour mourir est passé du domicile à l’hôpital en 1980.
Le savoir faire ancestral de la famille s’est perdu au bénéfice des médecins tout puissants qui se sont mis à gérer la mort devenue simplement un acte technique délicat.
De nombreux signes montrent pourtant que le thème est loin de désintéresser les proches : A Marseille un directeur d’hôpital a envoyé à un artiste une demande de chambre funéraire où les familles puissent se recueillir, en 2000.
De nombreux artistes aujourd’hui comme le chorégraphe Dominique BUGOUET ou le collectif « Merci » ont fait de la mort, le centre de leurs créations, tandis que de nombreux livres l’évoquent à partir de la disparition d’un être cher, quel qu’il soit.
Ce sont les malades du Sida qui en 1980, ont demandé à ce que le silence soit supprimé, qu’il y ait l’existence de groupes de paroles au sein même des hôpitaux et qu’enfin l’on crée des unités de soins palliatifs à visée non thérapeutique mais de protection des patients et de leurs proches.
Il est important de bien expliquer à chacun que la mort est un instant de la vie, et non un épouvantable échec médical.
Beaucoup de thérapeutes ont ainsi évolué :
« Devant un malade qui est décédé, je suis devant la fin d’un cycle disent-ils Il y aurait échec si nous n’avions pas tout fait pour la guérison… »
Ainsi depuis 1999 tous les hôpitaux doivent tenter d’avoir des structures de soins palliatifs, tandis que des congés d’accompagnement se mettent en place depuis l’an 2000 pour les proches des personnes en phase terminale.
Il est important de rappeler tous ces éléments en sachant que chacun a son rythme, pour pleurer, vivre son deuil.
Il est inutile de le bousculer, de vouloir à tout prix le ramener à une vie dite normale. ce serait manquer de respect à son égard et galvauder l’expression « travail de deuil ».
Enfin pour préparer sa propre mort, il est nécessaire d’être en paix avec la vie. De puiser foi et espérance en soi même, dans l’entourage, dans les rites religieux ou non.
Pour aider autrui une relation de confiance doit être instaurée, comme les simples actes quotidiens : décrocher son téléphone, faire un déplacement ou envoyer une lettre, ranger ses affaires, rattraper son retard, savoir se distraire et se reposer.
Porter en soi des lots ou des images que la personne à inspirés et qui aujourd’hui malheureusement n’est plus là…
N’oublions pas que les conférences sur le deuil, destinées aux anonymes font salle comble, et que ces dernières sont devenues obligatoires dans la formation continue des médecins...
On tente de réintégrer peu à peu la mort dans la vie.
 
Elisabeth DOLARD, Docteur en droit, licenciée ès lettres, et diplômée de l’Institut de Sciences politique et de l’Institut de criminologie s’est passionnée pour les études. Elle s’engage maintenant dans l’écriture en espérant que les lecteurs inconnus d’aujourd’hui seront les amis de demain !
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L'ouvrage débute par un exposé théorique justifiant la méthode de traduction utilisée, suivi d'une étude détaillée, à la lumière de la psychanalyse diélienne, de très nombreux passages, connus ou moins connus, des évangiles synoptiques : épisodes de la vie de Jésus, « miracles » symboliques et paraboles.

Journal d'une psychanalyse

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Le Journal d'un psychanalysé,  ouvrage unique en son genre, résulte de la collaboration entre Paul Diel et l'un de ses premiers analysés, qui a souhaité conserver l'anonymat. La deuxième édition a été reprise par Paul Diel et s’est intitulée Le Journal d’une psychanalyse.

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Sommaire
I. Violence du patient, violence dans la famille. II. Du risque recherché au risque dénié III. Introduction à la psychoSociologie cindynique.

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Resumé
Ce livre résulte de la coopération entre quatre chercheurs. Il vérifie le caractère opérationnel des concepts cyndiniques et permet d'élaborer la compréhension de la genèse du danger dans le tissu familial, social et sociétal. Il permet aussi de saisir la densité de l'instant qui précède les passages aux actes individuels violents et asociaux.

 

 

 

La vie de Paul Diel

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Les lecteurs de Paul Diel trouveront dans cet ouvrage des réponses à leurs interrogations sur la genèse de la psychanalyse introspective fondée sur l'étude des motivations intimes, qui valut notamment à Paul Diel l'estime et le soutien d'Albert Einstein. Au fil du récit, de nombreux extraits de la correspondance de Paul Diel permettent de retracer les étapes de la maturation de sa pensée.

Availability: 49 In Stock

Ce livre présente de façon claire et pédagogique les lois du fonctionnement psychique découvertes par Paul Diel et se poursuit par un exposé de leurs possibilités d'utilisation méthodique. Celle-ci peut renforcer et préciser la « voix de la conscience », présente en chaque être humain mais qui s'exprime le plus souvent de façon insuffisamment explicite.

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