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EM2010132 COÛT DE PRISE EN CHARGE DES CANCERS DE LA VULVE ET DU VAGIN EN FRANCE

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Résumé

Objectif : L’objectif de cette étude était d’estimer le coût annuel associé à la prise en charge des cancers et lésions de la vulve (VIN) et du vagin (VaIN) en France du point de vue de l’Assurance Maladie. Matériel et méthodes : Cette étude se base sur les données du Programme de Médicalisation des Systèmes d’Information (PMSI) en 2006 regroupant les données nationales des établissements hospitaliers publics et privés. Les coûts ont été estimés par les tarifs officiels des groupes homogènes de séjours. Une analyse additionnelle a permis d’estimer les coûts ambulatoires et les indemnités journalières pour les cancers de la vulve et du vagin. Résultats : En France, 1 237 patientes ont été hospitalisées pour un cancer de la vulve et 728 pour un cancer du vagin en 2006. Le coût total annuel de la prise en charge des cancers de la vulve et du vagin s’élève respectivement à 9,3 et 6,7 millions d’euros. Le coût lié aux hospitalisations pour VIN et VaIN s’élève à 1,3 millions d’euros. Conclusion : Le coût global annuel de la prise en charge des lésions et cancers de la vulve et du vagin est proche de 17,4 millions d’euros pour l’Assurance Maladie, cette estimation étant probablement sous-estimée du fait de la non prise en compte des coûts associés à la prise en charge ambulatoire des lésions.

Mots-clés :

Coût, PMSI, Cancer, Vulve, Vagin.

9782747216920
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Depuis une dizaine d’années, la littérature voit se multiplier des travaux cherchant à identifier les différents leviers à actionner afin d’encourager l’innovation au sein des entreprises. En prolongement de ces travaux centrés sur l’émergence d’une « culture de l’innovation », l’état de l’art réalisé dans cet article nous permet d’établir que créer une atmosphère de « sécurité psychologique » est le seul moyen permettant que :
– les membres de l’organisation ne soient pas paralysés par la peur d’échouer et continuent de proposer des projets audacieux,
– ces mêmes acteurs tirent les leçons des erreurs qui seront inévitablement commises au cours du processus d’innovation et soient en mesure de ne plus les reproduire. Nous suggérons, à ce titre, quelques axes de réflexion pour créer une culture du « droit à l’erreur » au sein des organisations, à commencer par la refonte des systèmes de sanction récompense et par l’inclination de la direction à « légender » les échecs. Nous soulignons néanmoins que ce qui est éventuellement possible dans le contexte de la culture américaine ne l’est pas forcément dans celui de la culture française.

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