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EM20111231 LA CHIMIOTHÉRAPIE À DOMICILE

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Résumé

Aujourd’hui, de nombreuses molécules de chimiothérapie peuvent être administrées dans le cadre d’une structure d’Hospitalisation à Domicile (HAD) ou par des libéraux coordonnés par un réseau de soins. Or, en 2009, la chimiothérapie à domicile représente moins de 1% de près de 2 millions de séances ambulatoires organisées chaque année en France, la prise en charge à l’hôpital représentant l’essentiel des séances. L’objet de ce papier est de présenter les résultats d’une étude sur l’organisation de la chimiothérapie ambulatoire, avec un focus particulier sur les données financières et les incitations qu’elles produisent sur les acteurs de soins. Nous démontrons ainsi que, compte tenu des contraintes liées aux transports des patients, et sous réserve d’une volumétrie permettant de mutualiser un certain nombre de charges, la chimiothérapie à domicile coordonnée par un réseau de santé est une solution tout à fait compétitive sur le plan médico-économique, à condition qu’elle soit intégrée dans une gestion globale de la prise en charge permettant d’améliorer la performance médico-économique des parcours de soins. La prise en charge doit s’appuyer sur un modèle coopératif, seul à même de répartir au mieux les patients. Les incitations financières manquent de cohérence, notamment la structure actuelle de la T2A, et ne favorise cette coopération. Les contraintes des acteurs de soins, et notamment le modèle de financement des hôpitaux, freinent le développement de la chimiothérapie à l’extérieur de l’hôpital.

Mots-clés :

Organisation des soins – Chimiothérapie – Réseaux territoriaux – Soins à domicile.

9782747218276
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Cet article entend célébrer les trente ans de Myriam, cette étonnante campagne publicitaire qui émut la France tranquille de 1981 en révélant les dessous du modèle éponyme, au gré de promesses de plus en plus osées : « Le 2 septembre, j’enlève le haut », « Le 4 septembre, j’enlève le bas »… En rejouant avec attention et passion le strip-tease de Myriam, l’article montrera que, trente ans après, ce geste est éternel puisqu’avec Myriam, il y a toujours des dessous aux dessous. Cet étonnant millefeuille publicitaire nous permet ainsi d’approcher (mais non de connaître) les ressorts cachés du teasing publicitaire et des séductions de la curiosité commerciale.

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