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PAL20107935 ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES 2010 AU CHILI

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Résumé

Les élections présidentielles de 2010 constituent le changement politique le plus important au Chili depuis la chute d’Augusto Pinochet. Le gouvernement de Michelle Bachelet, malgré une cote de popularité élevée, n’a pu transposer ses succès vers la coalition qui le soutient, la Concertation, ce qui a entraîné la défaite électorale de ceux qui avaient conduit jusqu’ici la démocratisation. La Coalition pour le changement, nouvelle coalition de droite, prend le pouvoir avec à sa tête l’homme d’affaires Sebastián Piñera. C’est une « nouvelle droite », éloignée des stigmates de la dictature et engagée dans des politiques en faveur des secteurs populaires, que ce dernier veut désormais incarner. Cependant, cette coalition, à l’épreuve du pouvoir, se révèle surtout comme un groupe d’hommes d’affaires ayant d’importants conflits d’intérêts avec l’administration publique. Une réorganisation du paysage politique s’impose, gauche et droite se redéfinissant selon de nouvelles lignes d’alliances et avec de nouveaux acteurs.

9782362590122
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Depuis une dizaine d’années, la littérature voit se multiplier des travaux cherchant à identifier les différents leviers à actionner afin d’encourager l’innovation au sein des entreprises. En prolongement de ces travaux centrés sur l’émergence d’une « culture de l’innovation », l’état de l’art réalisé dans cet article nous permet d’établir que créer une atmosphère de « sécurité psychologique » est le seul moyen permettant que :
– les membres de l’organisation ne soient pas paralysés par la peur d’échouer et continuent de proposer des projets audacieux,
– ces mêmes acteurs tirent les leçons des erreurs qui seront inévitablement commises au cours du processus d’innovation et soient en mesure de ne plus les reproduire. Nous suggérons, à ce titre, quelques axes de réflexion pour créer une culture du « droit à l’erreur » au sein des organisations, à commencer par la refonte des systèmes de sanction récompense et par l’inclination de la direction à « légender » les échecs. Nous soulignons néanmoins que ce qui est éventuellement possible dans le contexte de la culture américaine ne l’est pas forcément dans celui de la culture française.

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