Women’s presence in terrorism is not a new phenomenon. The earliest records of their involvement in terrorist movements date to the late eighteen hundreds. Throughout history, women’s participation in conflicts has been limited to supporting roles, giving birth to and raising children as future fighters. However, with time, their position and contribution in terrorist attacks have expanded to an important role of suicide bombers. This trend has been influenced by economical, regional, social, religious and personal factors. Further, caused by force and oppression from terrorist organizations, which understood the effectiveness of women suicide bombers and have increased their recruitment for strategic reasons. Women through decades have provoked changes in the meaning and view on terrorism. As perpetrators of violent attacks they have changed the general perception of women’s role in a society and the myth about their weakness and submissiveness. The paper provides contextual insights towards understanding why women become terrorists and valuable members of terrorist groups.
Depuis une dizaine d’années, la littérature voit se multiplier des travaux cherchant à identifier les différents leviers à actionner afin d’encourager l’innovation au sein des entreprises. En prolongement de ces travaux centrés sur l’émergence d’une « culture de l’innovation », l’état de l’art réalisé dans cet article nous permet d’établir que créer une atmosphère de « sécurité psychologique » est le seul moyen permettant que :
– les membres de l’organisation ne soient pas paralysés par la peur d’échouer et continuent de proposer des projets audacieux,
– ces mêmes acteurs tirent les leçons des erreurs qui seront inévitablement commises au cours du processus d’innovation et soient en mesure de ne plus les reproduire. Nous suggérons, à ce titre, quelques axes de réflexion pour créer une culture du « droit à l’erreur » au sein des organisations, à commencer par la refonte des systèmes de sanction récompense et par l’inclination de la direction à « légender » les échecs. Nous soulignons néanmoins que ce qui est éventuellement possible dans le contexte de la culture américaine ne l’est pas forcément dans celui de la culture française.