AN2013332 ART. LES HEPARINES DE BAS POIDS MOLECULAIRE SONT-ELLES DES ANTITHROMBOTIQUES AU POTENTIEL ANTI-NÉOPLASTIQUE

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Les Héparines de Bas Poids Moléculaire sont-elles des antithrombotiques au potentiel anti-néoplasique


Résumé

L’amélioration de nos connaissances sur les mécanismes de la relation réciproque existant entre le cancer et la thrombose a permis de mieux comprendre le rôle majeur des acteurs de l’hémostase dans la progression tumorale et l’intérêt du traitement antithrombotique adapté chez les patients atteints de cancer. Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM), anticoagulants naturels et véritables standards de l’arsenal antithrombotique, possèdent de nombreuses propriétés biologiques indépendantes de leur caractère anticoagulant et qui illustrent leur potentiel anti-tumoral. Ces effets – dits connexes – soulignent l’intérêt de leur usage dans le contexte néoplasique car elles pourraient potentiellement influencer l’évolution et le pronostic des cancers. Cette revue met en lumière les données illustrant cette approche « coagulationiste » de l’oncogenèse et les possibilités thérapeutiques prometteuses des HBPM pour l’optimisation de la prise en charge des patients atteints de cancer.

Mots-clés : Cancer, thrombose, héparine de bas poids moléculaire, angiogenèse, survie.

9782747221245
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Suite à l’incendie survenu dans le tunnel du Mont Blanc, une nouvelle réglementation a été adoptée imposant pour chaque tunnel routier la réalisation d’une étude de ses risques spécifiques et, pour le transit des marchandises dangereuses, une comparaison avec les risques présentés par les itinéraires alternatifs. Dans la mise en oeuvre pratique de ces nouvelles études, la tentation a été grande de multiplier et de sophistiquer les modélisations d’incendies, les analyses de scénarios, les calculs de probabilité, les critères permettant d’effectuer des choix rationnels… Le groupe de travail chargé de définir de bonnes pratiques en la matière, qui avait à la fois une grande expérience du terrain et des outils scientifiques, a convergé progressivement vers une doctrine concrète d’« usage raisonné » de la science faisant leur place aux raisonnements traditionnels fondés sur des règles simples, mais robustes. On décrira ici la complexité des arbitrages faits entre deux logiques, la logique « hyperrationnelle » et la logique pragmatique, qui sont toujours plus ou moins en tension dans la réglementation relative aux risques.

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