RE20147644 ART. BILAN ENERGETIQUE DE LA FRANCE POUR 2013

10,00 €
TTC
Type d'édition : Papier
Quantité
Add to wishlist

Article : Bilan énergétique de la France pour 2013

Sous-direction des Statistiques de l’Énergie, relevant du Service de l’Observation des Statistiques (SOeS) au sein du Commissariat général au Développement durable du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie.

Résumé

Le bilan énergétique de la France est l’une des publications phares du Service de l’observation et des statistiques (SOeS) du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie dans le domaine de l’énergie.
Les bilans énergétiques nationaux sont élaborés selon des normes standardisées et harmonisées, qui sont adoptées par l’ensemble des organisations internationales, telles que l’Agence internationale de l’Énergie et l’Organisation des Nations unies, et par plusieurs ensembles régionaux comme l’Union européenne.
Dans le contexte de l’actuelle discussion de la loi de programmation pour la transition énergétique, qui va définir les grandes orientations choisies par la France pour les années à venir, et de la fixation par la Commission européenne des grandes lignes du prochain paquet « Énergie–climat », il est particulièrement important de pouvoir procéder à des comparaisons entre la situation de la France et celle de ses voisins européens et de ses partenaires mondiaux.
Le bilan de l’énergie est un outil de présentation synthétique des flux des différents produits énergétiques d’un pays donné pour une année donnée. Il met en cohérence les statistiques portant sur tous les flux énergétiques : l’approvisionnement national, l’activité de transformation de l’énergie, la consommation finale de l’énergie (aussi bien en ce qui concerne les activités énergétiques que les activités non énergétiques).
Le présent bilan présente et analyse l’ensemble des flux d’énergie produits, importés, transformés, consommés ou exportés par notre pays tout au long de l’année 2013. Présentés sous la forme d’un tableau comptable, les chiffres donnent une vision immédiate et claire du circuit d’approvisionnement et d’utilisation par secteur de chaque source d’énergie : charbon, pétrole, gaz, électricité, énergies renouvelables thermiques et déchets.
Le bilan énergétique 2013 permet en outre de calculer des indicateurs variés, tels que l’efficacité énergétique et la dépendance vis-à-vis des autres pays en matière d’approvisionnement, et de fournir des données pour évaluer le plus en amont possible les émissions de dioxyde de carbone de notre pays.
Ce bilan est donc un outil indispensable à l’élaboration par la France de ses politiques et stratégies dans le domaine de l’énergie. Ce n’est donc pas un hasard si, dès l’après-guerre, le Commissariat général au Plan a procédé à l’élaboration d’un document statistique, qui, avec le temps, est devenu le bilan de l’énergie tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Pour ce numéro de Responsabilité et environnement, le choix a été fait de ne reproduire que quelques éléments (la synthèse et la partie II consacrée au poids de l’énergie dans l’économie et la société en 2013) de cette volumineuse référence statistique (plus de 160 pages) qu’est le bilan de l’énergie 2013.
Un bilan qui est consultable sur le site du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, à l’adresse suivante :
http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/
Ref_-_Bilan_energetique_de_la_France.pdf

9782747223584
30 Produits
Nouveau

16 autres produits dans la même catégorie :

Availability: 30 In Stock

Suite à l’incendie survenu dans le tunnel du Mont Blanc, une nouvelle réglementation a été adoptée imposant pour chaque tunnel routier la réalisation d’une étude de ses risques spécifiques et, pour le transit des marchandises dangereuses, une comparaison avec les risques présentés par les itinéraires alternatifs. Dans la mise en oeuvre pratique de ces nouvelles études, la tentation a été grande de multiplier et de sophistiquer les modélisations d’incendies, les analyses de scénarios, les calculs de probabilité, les critères permettant d’effectuer des choix rationnels… Le groupe de travail chargé de définir de bonnes pratiques en la matière, qui avait à la fois une grande expérience du terrain et des outils scientifiques, a convergé progressivement vers une doctrine concrète d’« usage raisonné » de la science faisant leur place aux raisonnements traditionnels fondés sur des règles simples, mais robustes. On décrira ici la complexité des arbitrages faits entre deux logiques, la logique « hyperrationnelle » et la logique pragmatique, qui sont toujours plus ou moins en tension dans la réglementation relative aux risques.

This website uses cookies to ensure you get the best experience on our website