MC20154146 Lu, vu, entendu : Quel cinéma militant hongkongais durant les années 1960 ?

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Extrait

 

Dans la deuxième moitié des années 1940, après la fin de la guerre contre les Japonais en 1945, pendant la guerre civile et à l'arrivée du parti communiste au pouvoir en 1949, de nombreux Chinois fuient à Hong Kong, protégés des événements politiques violents par le statut britannique du territoire. Parmi eux se trouvent des réalisateurs et des acteurs de gaucheayant déjà exercé dans le cinéma shanghaien mais aussi des hommes et des femmes plus jeunes qui deviendront des acteurs et des actrices très populaires dans les années 1950-1960, à la fois à Hong Kong et en Chine. Les circonstances qui les ont amené à se réfugier à Hong Kong sont diverses. Les futures actrices Xia Meng, Zhu Hong et Chen Sisi, très jeunes à la fin des années 1940 et issues de familles aisées, suivent leurs parents qui fuient l'arrivée au pouvoir des communistes. L'acteur et réalisateur Bao Fang, militant contre la guerre civile entre communistes et nationalistes, et l'acteur Zhu Ke, soutien du parti communiste, quittent précipitamment la Chine pour éviter d'être arrêtés par les agents du Guomindang. Tous s'installent à Hong Kong et commencent à faire des films. ...

9782747224505
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Depuis une dizaine d’années, la littérature voit se multiplier des travaux cherchant à identifier les différents leviers à actionner afin d’encourager l’innovation au sein des entreprises. En prolongement de ces travaux centrés sur l’émergence d’une « culture de l’innovation », l’état de l’art réalisé dans cet article nous permet d’établir que créer une atmosphère de « sécurité psychologique » est le seul moyen permettant que :
– les membres de l’organisation ne soient pas paralysés par la peur d’échouer et continuent de proposer des projets audacieux,
– ces mêmes acteurs tirent les leçons des erreurs qui seront inévitablement commises au cours du processus d’innovation et soient en mesure de ne plus les reproduire. Nous suggérons, à ce titre, quelques axes de réflexion pour créer une culture du « droit à l’erreur » au sein des organisations, à commencer par la refonte des systèmes de sanction récompense et par l’inclination de la direction à « légender » les échecs. Nous soulignons néanmoins que ce qui est éventuellement possible dans le contexte de la culture américaine ne l’est pas forcément dans celui de la culture française.

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