Ce travail présente une méthodologie pour l’évaluation de la fonction de vulnérabilité et du risque sismique pour les structures en bâtiments. Ceci a exigé l’étude des effets du séisme de zemmouri - wilaya de Boumerdès de mai 2003 (M=6.8) sur les constructions en poteaux poutres. L’analyse des donnés qui sont représentées par des niveaux de dommages par rapport à divers critères pathologiques, nous a permis de déterminer une corrélation entre les dommages et la vulnérabilité. L’évaluation de la vulnérabilité et du risque sismique qu’encourent les bâtiments est nécessaire dans les zones sismiques actives et permet de conforter le bâti existant, d’améliorer la qualité des matériaux utilisés et de maîtriser les procédés de constructions. L’approche utilisée est une approche qualitative, qui consiste à affecter des indicateurs numériques à chaque bâtiment, appelés indices de vulnérabilité. Ayant pris comme document pour notre étude, les fiches d’évaluation des services du CtC (organisme Algérien de contrôle technique de la construction) établies les semaines qui ont suivies le séisme du 23 mai 2003.
Cet article entend célébrer les trente ans de Myriam, cette étonnante campagne publicitaire qui émut la France tranquille de 1981 en révélant les dessous du modèle éponyme, au gré de promesses de plus en plus osées : « Le 2 septembre, j’enlève le haut », « Le 4 septembre, j’enlève le bas »… En rejouant avec attention et passion le strip-tease de Myriam, l’article montrera que, trente ans après, ce geste est éternel puisqu’avec Myriam, il y a toujours des dessous aux dessous. Cet étonnant millefeuille publicitaire nous permet ainsi d’approcher (mais non de connaître) les ressorts cachés du teasing publicitaire et des séductions de la curiosité commerciale.
