Le triomphe mondain de la bioéthique n’est pas sans évoquer les succès de Mata Hari dansant. Le charme de la jeunesse et l’exotisme supposé de leurs origines ont permis à l’une et à l’autre de ses troublantes égéries de séduire un public de protecteurs hauts placés. Mais savoir exprimer le désir des corps conduit-il inexorablement à la trahison ?