GR20118033 LES AVANTAGES ET LES LIMITES DE LA MÉTHODE « PARTIAL LEAST SQUAR

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Résumé

Les méthodes d’équations structurelles (MES) sont aujourd’hui largement employées dans la recherche quantitative en GRH, lorsqu’il s’agit de tester des modèles de causalité complexes, incorporant plusieurs variables latentes. La procédure habituelle d’estimation repose sur des techniques d’analyse des relations de covariance entre les variables, mises en application dans les logiciels couramment utilisés dans les traitements de données issues des études empiriques (ex : Lisrel, Amos, EQS). L’objectif de cet article est de présenter une méthode alternative d’estimation des modèles structurels basée sur la variance, mise au point depuis plus de 20 ans, mais jusqu’à présent très peu employée dans le domaine de la GRH : l’analyse Partial Least Squares (PLS), qui se révèle bien adaptée à certains types de modèles, incorporant des variables composites dites formatives. Nous verrons que cette méthode présente un certain nombre de caractéristiques qui en font un outil adapté au test de modèles relationnels complexes, typiques des situations rencontrées dans le domaine de la GRH. Après avoir présenté les traits essentiels de l’approche PLS, en la comparant notamment aux méthodes fondées sur l’analyse des covariances (Lisrel), nous proposons ensuite une mise en pratique via l’estimation d’un modèle de recherche issu d’une étude empirique menée sur les déterminants de l’implication au travail des salariés en contrats atypiques. Cette étude menée sur un échantillon de 208 salariés nous a permis de mettre en évidence un impact indirect des caractéristiques du contrat d’intérim sur l’implication organisationnelle des salariés concernés, à travers le rôle médiateur déterminant de la précarité perçue.

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2050-01-01
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Suite à l’incendie survenu dans le tunnel du Mont Blanc, une nouvelle réglementation a été adoptée imposant pour chaque tunnel routier la réalisation d’une étude de ses risques spécifiques et, pour le transit des marchandises dangereuses, une comparaison avec les risques présentés par les itinéraires alternatifs. Dans la mise en oeuvre pratique de ces nouvelles études, la tentation a été grande de multiplier et de sophistiquer les modélisations d’incendies, les analyses de scénarios, les calculs de probabilité, les critères permettant d’effectuer des choix rationnels… Le groupe de travail chargé de définir de bonnes pratiques en la matière, qui avait à la fois une grande expérience du terrain et des outils scientifiques, a convergé progressivement vers une doctrine concrète d’« usage raisonné » de la science faisant leur place aux raisonnements traditionnels fondés sur des règles simples, mais robustes. On décrira ici la complexité des arbitrages faits entre deux logiques, la logique « hyperrationnelle » et la logique pragmatique, qui sont toujours plus ou moins en tension dans la réglementation relative aux risques.

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