En guise de conclusion aux contributions réunies dans ces deux numéros d’Entreprises et Histoire, il faut d’abord souligner tout l’intérêt comparatif qu’il y avait à élargir le cadre chronologique des occupations, depuis la Seconde Guerre mondiale, qui nous a occupé dans le cadre du groupement de recherche (GDR) du CNRS « Les entreprises françaises sous l’Occupation », jusqu’aux conquêtes napoléoniennes. Je me propose ici, d’abord, de réfléchir à l’usage des deux concepts associés dans cette thématique des entreprises confrontées aux occupations militaires, avant de voir dans quelle mesure les auteurs des contributions ont répondu aux questions posées en introduction par Jean-François Chanet et Jean-François Eck, puis d’essayer d’en tirer quelques enseignements plus généraux.
Cette étude à la méthodologie «solide» apporte une stratégie décisionnelle basée sur des éléments clinico-biologiques simples pour interrompre sans risque un traitement anticoagulant chez les femmes ayant eu un premier épisode thrombotique veineux spontané et traitées pendant 5 à 7 mois.