CRIMINOLOGIE - La dimension stratégique et géopolitique, par Xavier RAUFER

Author : RAUFER Xavier
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Ce volume a pour thème la criminologie mondialisée de l'horizon 2020.

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Loin des faits et données étriqués, bornés par des idéologies caduques au seul territoire national, ce livre explore et éclaire ce qu'il y a devant nous, plus loin sur la route.

Aux diverses échelles concernées, on analyse dans cet ouvrage :

- MONDE - Le cadre mondialisé dans lequel grouille et s'agite la criminalité mondiale : l'Europe, les grands réseaux des trafics illicites : êtres humains, stupéfiants, armes, etc.

- MONDE encore - Les bouleversements immenses qui s'amorcent en matière de consommation de stupéfiants, de terrorisme, etc. ; à l'issue desquels la "planète criminelle" sera transformée de part en part.

- NATION - des échecs majeurs dans l'ordre social ("politique de la ville") ayant conduit à la présente criminalisation de nombreux quartiers et cités,

- MÉDIAS - les complexes rapports entre la société de l'information et le réel criminel, et les nuisibles répercutions de ces difficultés sur la société humaine.

A qui s'intéresse aux rapports entre criminalité, terrorisme  et mondialisation ; ce, en France, en Europe et dans le monde ; aux réactions des médias face aux dangers et menaces du monde qui émerge, ce livre apporte une vision - et des réponses.

Xavier Raufer est criminologue & essayiste. Il enseigne dans des instituts de sciences criminelles aux universités de Paris II, Pékin et George Mason (Washington DC). Sa bibliographie, des textes etc. : www.xavier-raufer.com

9782747223409
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Public
Elus locaux et nationaux en charge de la culture. Etudiants en sciences Politiques, sciences sociales, Sociologie, sciences humaines.

Resumé
"Selon l'auteur, il est clair que les 20 dernières années du siècle auront été celles de la fin d'une certaine forme d'exception culturelle française, caractérisée par l'emprise du pouvoir central sur la vie culturelle de notre pays.
Pour nos dirigeants, la tentation de jouer au " Roi Soleil " est morte avec la nouvelle répartition des responsabilités financières entre l'Etat et les collectivités locales. Empêtré dans les charges de fonctionnement des grandes institutions parisiennes, l'Etat ne peut plus désormais prétendre à lui seul donner le ton général et doit partager son pouvoir de direction avec les responsables locaux, qui entendent bien avoir leur mot à dire."

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