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EM2013633 QUALITÉ DU CODAGE, TENUE DU DOSSIER PATIENT ET QUALITÉ DES SOINS EN CHIRURGIE

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Résumé

L’objectif de cette étude a été d’optimiser le codage, et donc la valorisation, des Complications et Morbidités Associées des services de chirurgie du Centre Hospitalier d’Alençon-Mamers. Nous avons pu aussi apprécier la qualité de la tenue du dossier patient. Le codage des actes et des diagnostics présents dans le Résumé d’Unité Médicale des séjours ayant un Résumé de Sortie Standardisé mono-unité de chirurgie sur 2 périodes de 3 mois était étudié. L’impact économique, le pourcentage de recodage, la répartition des sources de recodage, la qualité de tenue du dossier, et la présence des documents légaux ont été analysés. L’augmentation de la valorisation était d’environ 110 000 € sur les deux périodes d’étude et le pourcentage de dossiers recodés d’environ 65%. Le nombre de Diagnostics Associés Significatifs (DAS) codés par les chirurgiens a augmenté entre les 2 périodes. Les changements ont été principalement une augmentation du niveau de sévérité. Les comptes-rendus opératoires étaient présents à plus de 95%, et les comptes rendus d’hospitalisation à 55%. Le pourcentage élevé de dossiers recodés montre les difficultés d’appropriation des règles de codage. Les DAS ont été le plus corrigés. Le dossier d’anesthésie et le dossier de soins étaient les plus utilisés pour le recodage. Les DAS ajoutés sont avant tout les complications post-opératoires et les antécédents. Notre enquête a permis d’optimiser le codage, et la valorisation. Nous avons aussi mis en évidence l’insuffisance de remplissage du dossier médical en chirurgie. L’action proposée essentielle a été le recrutement d’un médecin pour optimiser le codage tout en améliorant aussi certaines prises en charge médicales en chirurgie.

Mots-clés :

Codage, dossier patient, chirurgie, Alençon.

9782747221368
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Suite à l’incendie survenu dans le tunnel du Mont Blanc, une nouvelle réglementation a été adoptée imposant pour chaque tunnel routier la réalisation d’une étude de ses risques spécifiques et, pour le transit des marchandises dangereuses, une comparaison avec les risques présentés par les itinéraires alternatifs. Dans la mise en oeuvre pratique de ces nouvelles études, la tentation a été grande de multiplier et de sophistiquer les modélisations d’incendies, les analyses de scénarios, les calculs de probabilité, les critères permettant d’effectuer des choix rationnels… Le groupe de travail chargé de définir de bonnes pratiques en la matière, qui avait à la fois une grande expérience du terrain et des outils scientifiques, a convergé progressivement vers une doctrine concrète d’« usage raisonné » de la science faisant leur place aux raisonnements traditionnels fondés sur des règles simples, mais robustes. On décrira ici la complexité des arbitrages faits entre deux logiques, la logique « hyperrationnelle » et la logique pragmatique, qui sont toujours plus ou moins en tension dans la réglementation relative aux risques.

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