GC201110336 « CULTURALISTE » ?, « CULTURALISTE, TOI-MEME ! »

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Cet article est une réponse à la mosaïque parue dans le numéro 101 (Septembre 2010) de Gérer et comprendre sous la plume de Mme Pascale de Rozario et intitulée « La gestion en contexte interculturel ». Le présent article conteste la posture de nombreux chercheurs en sciences sociales qui visent à condamner dans l’analyse des situations de gestion toute approche se référant à la notion de différences culturelles « nationales ». Une crispation anti-culturaliste d’autant moins défendable que le contexte actuel de la mondialisation met en évidence une multiplication des situations internationales de gestion.

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2050-01-01
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Un nombre croissant d’investisseurs ne cherche plus, principalement, à gagner de l’argent en faisant fonctionner des entreprises, mais en effectuant des transactions sur les droits de propriété des entreprises. L’achat et la revente d’établissements industriels et commerciaux sont des moments privilégiés où de grosses sommes d’argent sont échangées rapidement et au cours desquels les fortunes se font et se défont. Quelles sont les conséquences de ces changements de propriété incessants sur le développement à long terme des établissements concernés et sur la prospérité (ou le déclin) de leurs parties prenantes (les salariés, les clients, les fournisseurs, les petits investisseurs et les collectivités locales) ? Nous proposons d’examiner ici ces questions à partir de l’étude du cas des investissements européens dans le bioéthanol brésilien.

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