MM201120831 D’Al-Qaïda à AQMI, de la menace globale aux menaces locales

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Introduction


La mort violente d’Oussama Ben Laden le 2 mai 2011, tué par les forces
spéciales américaines dans une banlieue d’Islamabad, clôt certainement la
fin d’un cycle. Ces cycles de la vie d’Al-Qaïda – Jean-Pierre Filiu en perçoit
neuf 1 – illustrent une adaptation souvent forcée du réseau djihadiste aux
contingences historiques et stratégiques du moment. Depuis 1992 et le
premier attentat à Aden, officiellement attribué à Al-Qaïda 2, les deux chefs
majeurs « des chevaliers sous la bannière du Prophète », pour reprendre
la formule issue du célèbre texte fondateur de Ben Laden, étaient l’objet
insaisissable de toutes les poursuites. Survivre, d’une certaine façon, c’était
vaincre – surtout lorsqu’on est poursuivi par l’hyperpuissance américaine. Ben
Laden devint ce que les anthropologues appellent le trickster ou « démiurge
roublard » qui vient perturber la création du monde dans les traditions
ésotériques amérindiennes 3. Avec son cortège de massacres aléatoires (dont
les musulmans furent les principales victimes), il fut le perturbateur de
l’ordre mondialisé. Aujourd’hui, Ayman al-Zawahiri a repris officiellement
le flambeau d’Al-Qaïda « après consultation ». 4 A-t-il, lui qui ne fut que le
théoricien du mouvement, les capacités organisationnelles et, à sa manière,
le charisme de Ben Laden ? On sait que le personnage est contesté par
de nombreux courants. L’avenir nous donnera plus d’informations sur sa
capacité interne et externe à survivre. ...

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Un nombre croissant d’investisseurs ne cherche plus, principalement, à gagner de l’argent en faisant fonctionner des entreprises, mais en effectuant des transactions sur les droits de propriété des entreprises. L’achat et la revente d’établissements industriels et commerciaux sont des moments privilégiés où de grosses sommes d’argent sont échangées rapidement et au cours desquels les fortunes se font et se défont. Quelles sont les conséquences de ces changements de propriété incessants sur le développement à long terme des établissements concernés et sur la prospérité (ou le déclin) de leurs parties prenantes (les salariés, les clients, les fournisseurs, les petits investisseurs et les collectivités locales) ? Nous proposons d’examiner ici ces questions à partir de l’étude du cas des investissements européens dans le bioéthanol brésilien.

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