MM200919931 Construction nationale , territorialité et diasporisation : le c

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Introduction


Signés en septembre 1993, les accords d’Oslo étaient censés conduire, en
l’espace de cinq ans, au règlement final du contentieux israélo-palestinien,
et par extension, du conflit israélo-arabe. Un État palestinien viable, aux
frontières reconnues internationalement, devait à terme voir le jour sur les terres
progressivement « libérées » de Cisjordanie et de la bande de Gaza, tandis que
les questions relatives aux réfugiés, à Jérusalem, à la sécurité et à la colonisation
devaient être résolues à l’issue de négociations dites de statut permanent. Pour
les Palestiniens, ce devait être là le point culminant d’une construction nationale
entamée dès le lendemain de l’exode de 1948 (la nakba), d’abord à travers la
transmission par les premiers réfugiés de la mémoire de la Palestine perdue
aux plus jeunes générations, puis, sous l’égide de l’Organisation de libération
de la Palestine (OLP), à travers la formation d’une identité collective à caractère
national transcendant les frontières et les statuts juridiques conférés par les pays
d’accueil.

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Un nombre croissant d’investisseurs ne cherche plus, principalement, à gagner de l’argent en faisant fonctionner des entreprises, mais en effectuant des transactions sur les droits de propriété des entreprises. L’achat et la revente d’établissements industriels et commerciaux sont des moments privilégiés où de grosses sommes d’argent sont échangées rapidement et au cours desquels les fortunes se font et se défont. Quelles sont les conséquences de ces changements de propriété incessants sur le développement à long terme des établissements concernés et sur la prospérité (ou le déclin) de leurs parties prenantes (les salariés, les clients, les fournisseurs, les petits investisseurs et les collectivités locales) ? Nous proposons d’examiner ici ces questions à partir de l’étude du cas des investissements européens dans le bioéthanol brésilien.

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