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Résumé
L’espèce humaine, qui attribue des droits à des entités abstraites, comme les personnes morales, peut parfaitement en attribuer aux animaux, sous réserve qu’ils soient clairement définis par rapport aux droits de l’homme. D’ailleurs, si l’on considère que des lois et des règlements protègent déjà les animaux, on peut dire que les « droits de l’animal » sont déjà parmi nous. Les « droits » apparaissent ici comme l’inverse des devoirs ou des contraintes que l’espèce humaine s’impose, par la loi, pour respecter les animaux. Ces droits ou ces contraintes mériteraient d’être étendus. Sur le plan philosophique, une conception nuancée de ces droits conduit à la formulation d’une morale pratique gradualiste, qui laisse sa juste place aux droits de l’homme, et qui est discutée.
Mots-clés :
Animal, Statut juridique, Législation.